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AGDE - LA PRESSE EST-ELLE MUSELEE OU INCOMPETENTE ? LE « CRASH » DE LA GERMANWINGS vu par Henry SAUCEROTTE

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Nous recevons aujourdhui un texte d'Henry SAUCEROTTE qui nous livre à titre privé son analyse  sur le Crash de la Germanwings . 
Henry SAUCEROTTE est également vice président  de la SODEAL et  Conseiller Municipal Délégué à l’Optimisation budgétaire, et en particulier à la gestion optimale des achats, des magasins et du garage et, à l’ordonnancement comptable auprès de l’Adjoint au Maire délégué aux Finances


LE « CRASH » DE LA GERMANWINGS vu par Henry Saucerotte

LA PRESSE EST-ELLE MUSELEE OU INCOMPETENTE ?

Des informations et des images étonnantes et vraiment surprenantes . . .

LE LIEU DE L’ ACCIDENT !!!

– une montagne désertique
– pas d’épave, des petits morceaux pulvérisés sur une zone étendue
– un espace immédiatement contrôlé par l’armée et la police, inaccessible (sauf forces de l’ordre)
– tous les milliers de morceaux ont été soigneusement ramassés dans les plus brefs délais; la zone est « nettoyée », plus de traces.
– aucune trace d’impact, là où l’avion est censé avoir percuté la montagne.

LES BOÎTES NOIRES

La première: celle des conversations dans le cockpit et la carlingue;
C’est étonnant de constater que le Procureur de la République s’est empressé de largement commenter le contenu de cette boîte noire en précisant que le copilote avait « enfermé » le pilote à l’extérieur du cockpit et qu’il avait délibérément modifié le plan de vol en programmant une descente de l’avion progressive, mais non brutale. Le Procureur en a conclu, un peu rapidement, que le copilote avait programmé de percuter la montagne. Pure spéculation, compte tenu des informations à ce moment-là.
C’était, certes, un détournement d’avion avec des intentions criminelles, mais il fallait attendre les résultats de l’autre boîte noire pour analyser sérieusement le comportement de l’avion.
La seconde boîte noire, celle des paramètres du vol, la plus importante qui permet de connaître exactement les conditions du crash:
Comme par hasard, elle n’a été « retrouvée »,dit-on, que plusieurs jours plus tard; entre temps, le monde entier s’était fait à l’idée du copilote, stressé, incontrôlable, voire déprimé qui se suicide avec son avion en rase campagne; Tout le monde a accrédité cette thèse; il n’y a pas eu un seul journaliste pour vouloir approfondir le problème et contester la conclusion, hâtive, du Procureur. Sur cette seconde boîte noire, le Proc a été nettement moins disert : il n’a pas donné l’heure exacte du choc avec la montagne, ni le lieu de l’impact au sol; en fait, il n’a rien dit du contenu de cette boîte noire et pour cause !

ET SI L’AVION N’AVAIT JAMAIS PERCUTE LA MONTAGNE ?

Nous avons tous vu des centaines de crashes d’avions, des petits, des moyens, des grands, des chocs plus ou moins violents, des montagnes percutées, en Europe, dans les Andes ou les Rocheuses, mais, JAMAIS, aucun avion n’a été pulvérisé comme celui-là et c’est normal.

Pourquoi ?
Quand un avion percute une montagne, soit il s’agit d’un choc frontal, assez rare, l’avant de l’avion est compressé, un peu comme un accordéon; cette compression permet d’encaisser la force de l’énergie cinétique; l’avion, en général, se disloque, peut prendre feu( assez souvent), mais dans la plupart des cas, l’arrière du fuselage reste à peu près intact, même si celui-ci est endommagé par la chute qui s’ensuit.
Soit, il s’agit d’un choc oblique, c’est le cas le plus fréquent, la violence du choc est nettement moins importante, l’avion se disloque et les différentes parties de l’avion sont parfaitement identifiables, ailes, carlingue et queue de l’avion; Les passagers, souvent décédés, ont leur corps intacts ou presque.

Pour moi, il est impossible que cet avion de la Germanwings ait percuté la montagne; toutes les images que nous avons vues le démontrent; Donc, si il n’a pas percuté la montagne, cela veut dire qu’il a été « PULVERISE EN PLEIN VOL ».

MAIS ALORS, PAR QUI ? COMMENT ET POURQUOI ?

Par la FRANCE, bien sûr. On ne saurait imaginer quelqu’un d’autre qui ait la possibilité de détruire un avion en vol au-dessus du sol français. Ce serait à désespérer.
COMMENT ?
Il faudrait le demander à François Hollande, mais je doute fort qu’il ait l’intention de le dire.

Alors, très probablement, par application du « protocole anti-terroriste » élaboré à la suite du « 11 septembre 2001 »; sinon, mais cela est fort improbable, ce serait une bavure d’un missile sol-air du plateau d’Albion. et le hasard aurait voulu que ce soit fait dans une zone désertique.
Revenons à l’hypothèse la plus probable du protocole anti-terroriste.

Le copilote est un « véritable terroriste » qui avait prévu une action d’envergure( de nombreux témoignages vont dans ce sens, mais n’ont pas été approfondis, la fragilité nerveuse de l’individu est sujette à caution . . .)
Le copilote avait bien prémédité de faire sortir le pilote du cockpit ( absorption éventuelle de diurétiques ?), mais il ne savait pas quand le pilote sortirait; il n’avait donc pas défini le lieu du crash. A faire une action d’ »éclat », il ne va pas se «crasher » dans le désert, il lui faut choisir une cible intéressante proche, Grenoble, Chambéry ou Annecy, il réduit progressivement l’altitude afin de ne pas alerter trop vite les aiguilleurs du ciel, mais ceux-ci s’en aperçoivent, essaient de communiquer avec lui, et, bien évidemment, en l’absence de réponse, déclenchent le protocole anti-terroriste.

C’est entre les mains de Hollande et de l’Etat Major français; il faut faire vite et détruire l’avion qui est une bombe énorme, de préférence, dans un endroit désertique; et voilà le résultat !
Je ne sais quel a été le missile utilisé, est-ce un missile sol-air ou bien un missile à partir d’un avion ( Rafale ?); D’ailleurs, depuis, les Rafales se vendent plutôt bien. Toujours est-il que l’avion a été pulvérisé en vol et que c’est en miettes qu’il est arrivé au sol. Les images vues d’avion ou d’hélicoptère montrent la dispersion qui correspond bien à une explosion en vol et à basse altitude.

Je ne sais pas si ma version est la bonne, mais ce que je dis, c’est qu’elle est bien plus probable que la version officielle qui présente beaucoup trop d’anomalies; J’en arrive donc à ma première question :

LA PRESSE EST-ELLE MUSELEE OU INCOMPETENTE ?

Les ingénieurs, les militaires et tant d’autres qui ont vu les images du « CRASH » ne peuvent pas accréditer la version officielle de l’avion qui percute cette montagne désertique; pourquoi n’a-t-on pas eu connaissance du contenu de la seconde boîte noire?
Comment se fait-il que les journalistes, si friands des scoops et des contradictions (souvent pour des choses futiles) ne se soient pas intéressés aux diverses hypothèses envisageables et aient pris pour du bon pain cette version officielle qui n’aurait été plausible que si on n’avait pas vu les images.

SI l’on a appliqué le protocole anti-terroriste ( qui a été validé sur le plan international), pourquoi ne pas le dire ? Non seulement, il ne faut pas avoir honte ( de toutes façons, les passagers étaient condamnés par le copilote), au contraire, cela montrerait au monde entier que nous avons des moyens pour lutter contre le terrorisme: l’avion a été détruit et il n’y a pas eu de dommages collatéraux: est-ce pour cette raison que F. Hollande a emmené sur place Angela Merkel et le roi d’Espagne ?

Maintenant, le débat est ouvert, Messieurs ( et Mesdames) les journalistes, allez-y, faites votre métier !

surtout si vous êtes CHARLIE 

Henry SAUCEROTTE ( AGDE ) 


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