L'électoralisme de Commeinhes éventé par Myriam ROQUES
« Quand cela ne marche pas , il faut essayer quelque chose ». Voilà. François Commeinhes…
« Quand cela ne marche pas , il faut essayer quelque chose ». Voilà. François Commeinhes vient d'avouer lors du dernier conseil d'agglo. Cela ne marche pas. Et tel Ponce Pilate il s'en lave les mains. Trop facile. Et l'âme damnée de François Commeinhes, Emile Anfonso, de reconnaitre que pas un jour « il n'était interpellé sur la propreté de la ville ».
Oui à Sète, cela ne marche pas. La ville est sale et depuis des années.
François Commeinhes dit , il faut privatiser. Peut-être. Mais les Sétoises et les Sétois doivent savoir que la collecte des déchets et du nettoiement du centre-ville n'a été, jusqu'à ce jour, assurée en partie que par des agents qui ont servi et participé à l'élection du maire actuel. On embauchait à tour de bras. 2013 fut une année faste.
Le maire sortant, et bientôt sorti, était lié par des accords électoralistes. Nous sommes ici dans le clientélisme le plus total. Depuis 2001, ce service servait de variable d'ajustement pour s'assurer des suffrages sur le dos des contribuables sétois.
Avec cette privatisation annoncée, une partie du système Commeinhes est dévoilé. Il est temps de tourner la page. Le rapport a été voté en conseil d'agglo. Même par ceux qui, tel Rudy Llanos, veulent jouer les premiers rôles lors des élections municipales en 2020.