Droit

AGDE - L’éducation de nos enfants : un investissement pour l’avenir pour le Parti Socialiste

L’éducation de nos enfants : un investissement pour l’avenir  Depuis la perte de son siège…

L’éducation de nos enfants : un investissement pour l’avenir 


Depuis la perte de son siège de député, Gilles D’Ettore veut nous faire oublier les lois néfastes qu’il a votées et aujourd’hui veut faire porter au gouvernement et au Président de la République, toute la responsabilité de l’état du pays. Il faudra plus que  dix mois pour rétablir un état juste et efficace après  dix années de casse par la droite avec pour seul exemple pour l’éducation :

       80 000 emplois supprimés durant les cinq ans de la mandature du député D’Ettore.

       Abandon des élèves les plus en difficulté avec le démantèlement des RASED (Réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté)

       Accroissement des inégalités territoriales avec la suppression progressive de la carte scolaire et le risque d’établissement ghettos.

       Généralisation de la semaine de quatre jours unanimement dénoncée comme contraire à l’intérêt des enfants.

Voilà le bilan des années de la gestion de l’état UMP, un système éducatif qui n’a cessé de régresser dans toutes les évaluations internationales. 

Monsieur D’Ettorre, Il est faux de dire «sans concertation préalable », Car le dialogue a été mené pendant six mois par Vincent Peillon et tous les points de vue se sont exprimés. Par ailleurs, le cadre fixé par le gouvernement est souple et permet à la concertation locale de jouer pleinement son rôle avec l’élaboration des projets éducatifs territoriaux. Les collectivités territoriales, en lien avec la communauté éducative, peuvent ainsi choisir d’appliquer la réforme en 2013 ou en 2014, ou de retenir le mercredi ou le samedi matin. La durée et l’organisation de la journée d’enseignement pourront aussi être modulées, à condition que les projets pédagogiques soient de qualité. Il est toujours faux de dire « sans en mesurer les conséquences financières », car le gouvernement a créé un fonds spécifique de 250 millions d’euros pour accompagner les collectivités territoriales dans la mise en œuvre de la réforme. Toutes les communes qui l’appliqueront en 2013 sont éligibles (50 euros forfaitaires par élève) et un effort particulier sera consenti en faveur des communes urbaines et rurales les plus en difficulté (40 euros supplémentaires par élève).

La réalité, c’est que la gauche agît pour la réussite de tous les enfants, avec des mesures engagées telles que :

       Relance de la scolarisation des enfants de moins de 3 ans, outil essentiel de la lutte contre les inégalités à l’école.

       Dispositif de plus de maitres que de classes, qui permettra de mettre en place de nouvelles organisations pédagogiques pour mieux répondre aux difficultés rencontrées par les élèves

       Augmentation de  25 % de l’allocation de rentrée scolaire, parce que les élèves et l’école ne doivent pas être victimes de la crise

       Plan d’éducation artistique et culturelle pour tous les enfants

       La lutte contre le décrochage scolaire avec comme objectif de diviser par deux le nombre de jeunes sortant chaque année sans qualification du système éducatif (aujourd’hui 140 000)

Ne vous interrogez plus, car dans la réforme des rythmes  scolaires, c’est bien l’intérêt de l’enfant qui est passé avant tout.  Pour l’avenir d’Agde,  les agathois pourront décider l’année prochaine quel avenir pour notre Ville, et là aussi le parti socialiste agathois fera tout pour donner une autre vision que la vôtre à notre Ville.

 

Pour le Parti socialiste agathois

Adrien TERRIBILE

 

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