BEZIERS - TEL EST PRIS QUI CROYAIT HARCELER, NOUVELLE RACLÉE JUDICIAIRE POUR LA LIGUE DES DROITS DE L'HOMME
TEL EST PRIS QUI CROYAIT HARCELER NOUVELLE RACLÉE JUDICIAIRE POUR LA LIGUE DES DROITS…
TEL EST PRIS QUI CROYAIT HARCELER NOUVELLE RACLÉE JUDICIAIRE POUR LA
LIGUE DES DROITS DE L'HOMME
Hier, mercredi 22 juin, le tribunal administratif de Montpellier a condamné la Ligue des Droits de l'Homme (LDH) à verser 500 euros à l'issue d'un procès une nouvelle fois perdu par cette association d'extrême-gauche.
De quoi s'agissait-il ? Tout simplement d'un arrêté pris par la Ville de Béziers en avril 2014 prévoyant un « couvre feu » pour les mineurs de moins de treize ans (non accompagnés d'un membre de leur famille) entre 23h00 et 6h00 durant la saison d'été. Arrêté dont la LDH demandait l'annulation au prétexte des libertés publiques. En réalité, pour des motifs politiques. Depuis deux ans, ce groupuscule n'a eu de cesse de multiplier les plaintes contre la municipalité sur les sujets les plus divers comme, notamment, la crèche de Noël installée en mairie.
Il est rare en ces affaires qu'un tribunal condamne le plaignant à verser une indemnité à celui qu'il poursuivait injustement.
Sans doute le tribunal administratif de Montpellier, lassé par le harcèlement de la LDH, a-t-il voulu lui envoyer un message sonnant et trébuchant.