Comités locaux Agde-Béziers - Communiqué :

« Nombreuses et nombreux » ont été les soutiens du candidat Nicolas SARKOZY.
Actuellement en action sa tache n’est pas facile.

J’entends bien ici et là la voix de certains de nos amis UMP, de certains candidats et élus qui s’impatientent et parfois même essayent de se désolidariser de l’action du Président afin de ne pas se « marquer politiquement » des craintes d’un « revirement » local de situation.
Certains même critiquent ouvertement et ciblent le Président sans demi-mesures sans prises de recul.
Pour les amis de Nicolas Sarkozy qui l’avons soutenu il est clair qu’un ami a besoin de votre soutien quand la situation devient difficile pas quand tout va bien. On appelle cela la cour et les courtisans.
Nombreux sont ceux qui profitant de la popularité de l’homme ont su se positionner et qui aujourd’hui chose bien surprenante crient au loup.
Nous ne pouvons pas adhérer à cette démarche et accepter ce type d’attitude déloyale et non-conforme aux valeurs que nous défendons.
Aussi très clairement nous renouvelons notre confiance et notre soutien au Président de la république qui a entrepris un chantier colossal et des réformes pour lesquelles nous devons le soutenir. La France en a besoin et même les mouvements du Centre et de la gauche reconnaissent la nécessité de réforme.

Bien entendu il y a des erreurs, des tâtonnements, des changements de cap mais quel Président n’en a pas connu ?
L’important c’est que nous puissions aussi conserver le lien pour partager la vision du terrain de manière responsable afin d’infléchir des mesures qui peuvent nous paraître injuste et cela peut arriver, arrive et arrivera à nouveau. C’est cela la politique.

La politique du sens du vent et de la non responsabilité nous la payons aujourd’hui et nous la payerons demain car ceux qui ne prennent pas leurs responsabilités aujourd’hui et qui ne prennent pas les décisions qui s’imposent, nous engagent malgré eux par leur comportement immobiliste.
Cette politique a déjà produit ses effets, nous les connaissons :
– abstention et montée des extrémismes
Choses que nous ne pouvons accepter.
Les responsables et membres de l’ANANS savent que la période que nous vivons est capitale pour notre Pays. Comme l’indique le rapport Attali il ne peut plus être question que les intérêts individuels puissent passer au dessus des intérêts collectifs.
Cette réalité économique doit aussi s’appliquer en politique.

C’est aussi cela la rupture voulue par Nicolas Sarkozy que nous avons tous défendu et que nous continuerons à défendre sans avoir à nous renier.

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