Droit

Denis BONTEMPS a rejoint Dominique Antonmattei

Résidant au Cap d ’Agde pour villégiature de 1997 à 2008, maintenant  retraité de…

Résidant au Cap d ’Agde pour villégiature de 1997 à 2008, maintenant  retraité de l’entreprise EDF où j’occupais la fonction de coordonnateur conduite en centrale nucléaire, j’habite définitivement depuis 2009 dans le quartier des Cayrets à Agde. Je suis marié et père de 4enfants.

Depuis 13 ans, je constate le déclin continuel de notre cité : centre-ville à l’abandon, insécurité dans pas mal de quartiers, chômage record, prestations pour les touristes à la baisse, urbanisation anarchique et bétonnage à outrance, manque d’ambition culturelle, pénurie de logements sociaux, pas de service d’urgence 24h/24h à l’hôpital. Il faut changer l’équipe dirigeante : 2 mandats, ç’est déjà trop, 3, bonjour les dégâts !

Voici pourquoi j’ai choisi Dominique Antonmattei  et la liste Agissons pour Agde

Durant  les 5 dernières années elle a été la seule, avec l’équipe du Cactus Agathois, à dénoncer les pratiques et dérives de l’équipe municipale en place, alors que l’opposition actuelle au conseil municipal a été inexistante.

Dominique  Antonmattei  et les membres de la liste Agissons pour Agde forment une vraie équipe, aucune décision n’est prise de façon  unilatérale, chaque prise de décision est le fruit de la réflexion du groupe. De plus aucun membre de la liste n’est animé par le profit  personnel, le seul objectif  fixé étant le mieux-être des Agathois et le redressement de la ville.

Dominique Antonmattei a les qualités et les compétences requises pour diriger la ville : elle intransigeante sur le respect de la loi, ce qui lui a valu les honneurs  du journal télévisé d’Antenne II, alors qu’elle était principale du collège de la Goutte d’Or à Paris.

Dominique Antonmattei  sait être à l’écoute des gens qu’elle rencontre depuis plusieurs mois, lors de réunions d’appartement ou sur les marchés. Et il serait grand temps qu’une femme devienne le premier magistrat de la ville, à notre époque la misogynie ne doit plus avoir cours. 


BONTEMPS Denis

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