HERAULT - Après l’annulation du concert de Black M, continuez de défendre notre histoire nationale en rejoignant le Collectif Racine!

Après l’annulation du concert de Black M, continuez de défendre notre histoire nationale en rejoignant le Collectif Racine!  

Communiqué de Gilles Ardinat,
Professeur agrégé d’histoire-géographie,
Conseiller régional FN/RBM,
Secrétaire départemental du Collectif Racine de l’Hérault.

Les patriotes ont remporté aujourd’hui une victoire symbolique importante : le concert de Black M, programmé pour le centenaire de la bataille de Verdun, a été annulé suite à une mobilisation massive des défenseurs de la France et de son histoire. Notons le rôle moteur de nos amis du collectif CLIC (Culture, Libertés et Création) sur les réseaux sociaux. Cet activisme souligne une fois de plus le dynamisme et l’utilité des collectifs thématiques du Rassemblement bleu marine.

Ce concert scandaleux, voulu par le maire socialiste de Verdun (pourtant ancien professeur d’histoire-géographie) et cautionné par L’Elysée, constituait une véritable profanation de notre histoire nationale. Black M est le porte-voix d’une musique vulgaire, injurieuse et agressive aux antipodes de la solennité et de la dignité qu’exige une commémoration aussi importante. Issu de « sexion d’assaut » (groupe controversé dont le nom fait expressément référence à une milice nazie, les SA), ce chanteur n’avait rien à faire dans une cérémonie dédiée à la mémoire des 163.000 Français morts pour défendre notre pays.

L’indignation populaire face à ce projet de concert démontre que les Français restent très attachés à leur histoire. Le Front national et le Rassemblement bleu marine ont porté avec courage le combat contre la dénaturation du souvenir de Verdun. Or, ce combat pour la préservation de notre passé doit aller bien au-delà de cette affaire Black M : l’Ecole de la République a tout son rôle à jouer dans la transmission, aujourd’hui malmenée, de notre récit national.

Le Collectif Racine propose de réorienter les programmes et les méthodes d’enseignement par des mesures de bon sens : recentrer les contenus sur les fondamentaux de l’histoire de France (en renonçant aux sujets exotiques teintés de multiculturalisme), réhabiliter la chronologie (trop souvent marginalisée au profit d’approches thématiques inappropriées), valoriser des personnages emblématiques (aujourd’hui progressivement évincés).