HERAULT - Pénélope GUILBAUD-GREFFIE Nouvelle Secrétaire Générale des Jeunes SocialistesHéraultais
Nouvelle Secrétaire Générale Pénélope GuilbaudGreffié, ancienne Trésorière, a été élue Secrétaire Générale du Mouvement…
Nouvelle Secrétaire Générale
Pénélope GuilbaudGreffié, ancienne Trésorière, a été élue Secrétaire Générale du Mouvement des Jeunes Socialistes de l’Hérault par un vote unanime du Collectif Fédéral.
Je veux aussi remercier Helline Meyrueix, qui la précède, pour son implication déterminée et enthousiaste dans cette fonction.
Pénélope GuilbaudGreffié a 19 ans et est étudiante en musicologie à l’Université PaulValéry.
Depuis le début de son engagement militant, elle n’a jamais délaissé le terrain et a su pleinement se mobiliser lors de chaque rendezvous électoral.
Les défis qui nous attendent sont multiples et grands. Elle contribuera à les relever avec le sens de l'efficacité et du collectif.
Le défi central est celui des élections régionales. Il y a aussi le Congrès du MJS, qui a déjà commencé et prendra fin en décembre.
Pénélope GuilbaudGreffié est d’ailleurs candidate sur la liste du Parti Socialiste, aux côtés notamment de 4 jeunes colistiers héraultais issus du MJS : Geoffrey Boulade, étudiant en droit, Romain Blanc, chauffeur routier, et Elsa Peinturier, doctorante et chargée de cours en géographie.
La présence importante de jeunes sur la liste démontre la volonté réelle de Carole Delga d’impulser un renouvellement des têtes et des pratiques politiques. Ce renouvellement est l’une des bases nécessaires à la rénovation démocratique dont notre pays a tant besoin.
Comme écrivait l’aficionado et écrivain Albert Camus, membre du Club taurin de Paris :”La démocratie, ce n’est pas la loi de la majorité, mais la protection de la minorité”.
Cette minorité culturelle – la Tauromachie – que nous défendons n’est pas celle qui opprime, qui mutile, des femmes, des enfants ou des hommes dans l’impossibilité de se défendre, au nom d’une tradition religieuse, ancestrale, historique…
L’UNESCO, dans sa Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, établit “la reconnaissance de l’égale dignité de toutes les cultures et le respect de celles-ci, y compris les cultures appartenant à des minorités et celles des peuples autochtones”, avec la seule limite du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales.