La VIGIE observe … les TRIBULATIONS d’un « MAIRE 2 » par Jean VALI
J’appelle «MAIRE 2 » celui qui par ses fonctions est le plus proche collaborateur…
J’appelle «MAIRE 2 » celui qui par ses fonctions est le plus proche collaborateur d’un Maire et donc sa logique courroie de transmission.
En mécanique on attend d’une courroie de transmission qu’elle communique à l’appareillage l’impulsion du moteur.
Jamais une courroie de transmission fidèle à ses attributions ne prendrait l’initiative de contrarier le bon fonctionnement de la machine, sauf si bouffie d’orgueil ou d’incompétence cet accessoire de transmission ne finissait par se prendre pour le moteur lui-même.
C’est ce que laisseraient supposer certains comportements de notre courroie locale
Irruption inattendue sur la passerelle de commandement pour y perpétrer des violences à l’égard d’un passager en discussion avec la capitaine,
Installation d’un coussin sur le pont supérieur, pour prévenir les risques de chutes sans doute.
(Il faudra d’ailleurs que ce dernier « le coussin » m’explique comment il peut cumuler son emploie en mairie et sa participation à l’exploitation d’un établissement commercial (propriété de la Sodéal par ailleurs). En bourse l’on rapprocherait cela du délit d’initié.
Voilà que je m’égare à l’avant port . Revenons plutôt à bord du « Vaisseau Amiral » où le bosco (c’est ainsi que dans la Royale, on nomme le second) exprime un mépris total à l’ensemble du personnel navigant.
Si je pouvais me permettre un conseil au Capitaine, je lui suggèrerais de reprendre en mains l’équipage de ce navire sabordé par le « bosco » et d’être attentif à « L’hygiène intime » des services.
Car les marins qu’ils travaillent en soutes ou sur le pont l’on risque de les voir attiré par le bâbord pour rectifier l’incompétence du bosco.
Je crois d’ailleurs que ce dernier à du lors d’un très ancien coup de mer voir sa montre passer par-dessus bord.
Capitaine je garde confiance en toi comme beaucoup de passagers, mais écoute le vent siffler dans la voilure, et n’hésite pas à donner un coup de barre pour garder le bon cap.
NB : Si à tout hasard le Bosco envisageait de me gifler pour mes propos, je l’informerai volontiers, pour lui faciliter la tache de l’horaire de mes visites à bord.
Je lui conseille toutefois de ne pas me louper à la première gifle car malgré mon âge beaucoup plus avancé que celui de sa première victime il n’aura pas l’occasion de me donner la seconde.
Chaberlipopette, j’ai tout dis.
Jean VALI
————————
Les textes édités sur le site de libre expression Hérault Tribune sont édités sous
l’entière et pleine responsabilité de l’auteur des textes proposés qui atteste
qu’il ne viole aucun droit de tiers et la législation applicable en vigueur.
————————