Les ingénieurs veulent amender le principe de précaution
Les ingénieurs et les scientifiques seraient-ils mal aimés de la nation et peu entendus ? Plusieurs instances les représentant ont en tout cas décidé de prendre la parole : l’IESF – société des ingénieurs et scientifiques de France, qui revendique la représentation de plus d’un million d’ingénieurs, via quelque 175 associations, et de 200 000 scientifiques – et l’ISAE Executive Club – réseau d’anciens élèves de l’Institut supérieur de l’aéronautique et de l’espace ; Sup’Aéro, Toulouse – se sont associés pour faire part de leurs propositions communes, sous le titre Réussir le futur : jouons collectif. Ces propositions ont été rendues publiques le 1er octobre à Paris. Il y a « urgence », estime Jacques Lefèvre, président de l’ISAE Executive Club et directeur associé dans le cabinet de conseil Stratorg Group. « Des ruptures majeures se préparent dans nos laboratoires, qui vont apparaître demain, avec le digital, les nanotechnologies, les biotechnologies », rappelle-t-il.
Extrait de l’article publié dans l’Hérault Juridique & Economique du jeudi 15 octobre 2015.
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