Marc Serrano reçu par le Club biterrois "L'Aficion"
Marc Serrano reçu par le Club biterrois "L'Aficion" Vendredi 21 novembre, le Club Taurin Biterrois…
Marc Serrano reçu par le Club biterrois “L'Aficion”
Vendredi 21 novembre, le Club Taurin Biterrois « L’Afición » et son président Gérard Mula recevaient au Domaine Augé (Boujan sur Libron) le matador de toros Marc Serrano. Stefan Guin, chroniqueur taurin au quotidien régional, en présence d’une quarantaine de convives, anima la soirée avant et entre les plats.
Marc Serrano, c’est le matador dont la simplicité est exemplaire. Son humanisme est patent à travers son parrainage de l’association « La Clé » ( aide aux cancers et leucémie chez l'enfant) pour laquelle il organise, avec ses amis aficionados et professionnels, chaque année un festival à Vauvert.
En préambule de la soirée une vidéo de Tendido Sud consacrée à la confirmation d’alternative du torero à Las Ventas le 7 septembre 2014. Jour d’émotion de fouler le sable de l’arène principale de la Tauromachie. Hélas, tous les toros Saltillos furent compliqués. Son travail au 1er lui permettant d’obtenir quand même un salut après une demi-lame. Mais comme déclare dans la vidéo son apoderado l’ancien matador « El Boni » : « combien de figuras sortent de Las Ventas les mains vides… »
Puis retour sur le passé de celui qui tomba très jeune dans le « chaudron » des arènes de Nîmes à l’époque du 6eme Toro gratuit. Tout fût évoqué : le Centre Français de Tauromachie, les novillades, les tientas au campo, l’alternative en juin 2000, l’Espagne, les plazas d’Amérique Latine où il aimerait retourner, Madrid où il vit depuis huit ans avec comme port d’attache sa ville de Nîmes, sa carrière future, la situation tauromachique en Espagne, les hauts et les bas que connaissent d’ailleurs tous les jeunes ou moins jeunes matadors… Mais une chose est certaine, Marc Serrano est conscient qu’il faut continuellement pour progresser travailler son « toreo ». De toutes façons, quoiqu’il lui arrive, il restera directement ou indirectement toujours proche du Toro…
Alors, Suerte Torero !