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Mouvement pour la candidature de François Commeinhes

Mouvement pour la candidature de François Commeinhes Elections municipales 2014  Ils comptent à…

Mouvement pour la candidature de
François Commeinhes
Elections municipales 2014


Ils comptent à Sète et s'engagent avec François Commeinhes


Femmes et hommes de Sète, ils ont décidé de s'engager avec le maire sortant pour les prochaines élections municipales. Ensemble, ils ont créé le Mouvement pour la candidature de François Commeinhes et appellent tous les Sétoises et les Sétois à venir les rejoindre.
 
Commerçant, médecin, ancien membre du GIGN, mareyeur, étudiant, chef d’entreprise, encartés, apolitiques, les membres du Mouvement pour la candidature de François Commeinhes sont issus d'horizons divers mais ont en commun le même attachement à leur ville.
Une passion qui les amène aujourd'hui à se mobiliser. Convaincu que François Commeinhes est le plus à même de relever les défis et de garantir un avenir serein à la ville de Sète, ils appellent à l’union la plus large derrière le maire sortant.
S'ils ont choisi de soutenir François Commeinhes c'est parce qu'ils partagent ses convictions et son combat pour faire avancer la ville. Des femmes et des hommes engagés pour un Maire Responsable.
Eloignés des arcanes de la politique pour la plupart, adhérents à des partis politiques différents pour d’autres, ils débutent ensemble cette nouvelle aventure. Ils témoignent en toute sincérité de leur confiance en François Commeinhes. Pour eux en 2014, le choix est évident et pour que la victoire soit la plus belle possible, ils invitent à les rejoindre dès-à- présent sur :
– Twitter : @sete2014
 
Rudy Llanos
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Meneur d’équipe, Rudy Llanos est médecin de profession mais a plusieurs autres pôles d’intérêt par ailleurs. Passionné de sciences, il exerce outre la médecine générale, la médecine sportive et l’expertise médicale. Urgentiste de formation, il s’est aussi un temps passionné pour l’hydrologie et la climatologie médicale et a même fait son mémoire sur les possibilités de faire de Sète une station
 
thermale. Vif, battant, il mène de front son activité professionnelle et une vie familiale bien remplie, aux côté de ses deux filles, de son fils et de son épouse commerçante dans le cœur de ville. Il est le médecin officiel de l’équipe première de l’Arago, des Dauphins en water- polo et des Dockers en natation synchronisée. En parallèle, il donne des cours à la faculté de médecine et à l’école d’infirmier de Sète. Une activité qui lui tient particulièrement à cœur. Il se sent bien entouré de ses associées, de ses internes et étudiants : « J’aime beaucoup apprendre mais prends encore plus de plaisir à retransmettre à mon entourage ». Ce féru de politique a forgé ses premières convictions en 1981. « Je venais d’ouvrir mon cabinet à Sète quand Mitterrand a annoncé qu’il voulait mettre à mal la médecine libérale en ouvrant des maisons de santé mutualistes fonctionnant avec des médecins salariés ». Un choc pour ce jeune diplômé qui n’aura de cesse de défendre le libéralisme et le self made man. Après deux mandats en tant que conseiller municipal délégué à la santé et la sécurité de 83 à 1996, époque de la construction de l’hôpital, Rudy Llanos veut à nouveau relever les manches pour rendre service à sa ville et se faire plaisir car il reconnait aimer la politique. Celui qui à 14 ans et demi arpentait les quais en tenue de docker connaît le sujet sur le bout des doigts. Pour s’engager, il croit en François Commeinhes et en lui seul. En bon médecin, il a au préalable ausculté les différents candidats : en Liberti, il apprécie l’homme mais abhorre l’idéologie, en Lubrano, il pressent un manque de soutien et d’assise politique, chez Sans, le diagnostic est facile car il n’est question que d’ambition et chez les verts, s’il est conscient des enjeux environnementaux, il constate leur impossibilité de gagner tant qu’ils ne feront pas l’union au plan national. Conclusion : pour faire avancer Sète, il fait confiance à François Commeinhes évidemment.
 
Marie de la Forest
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Lagardère, Les Echos, Le Point, Prisma presse… Les grands groupes et organes de presse lui confie la conception de leurs magazines. Spécialisée dans les titres à grand tirage : Top santé, Télé star, Modes et travaux… Marie de la Forest doit son succès à sa longue carrière dans le secteur de la presse et des médias. « J’ai occupé à peu près tous les postes que l’on peut occuper dans une carrière journalistique », constate celle qui est aujourd’hui à la tête d’une agence de presse et communication qui emploie 48 personnes et réalise 4 millions d’euros de chiffre d’affaires. Née en Algérie, cette mère de trois enfants a habité presque toutes les villes de France au grée de la carrière de son père, ancien militaire. Si sa vie a tangué d’un bord à l’autre de la Méditerranée, Marie de la Forest s’est solidement amarrée à ses convictions. « J’essaie toujours de faire les choses dont j’ai envie et j’encourage vivement les gens à faire pareil ». La plus grande fierté de cette directrice d’agence est d’avoir créé des emplois. « Créer des emplois, c’est la solution à tout », affirme-t-elle. En 2008, la société qu’elle a créée a pourtant pris la crise de plein fouet. « Mes employés ont accepté à l’unanimité une baisse des salaires, moi j’ai vendu ma maison et mon fils qui travaille avec moi depuis dix ans s’est endetté. Mais aujourd’hui, nous sommes très fiers de ce que nous avons fait ». Passionnée d’histoire et de gastronomie, cette plume talentueuse est l’auteur de plusieurs ouvrages. Son prochain livre, en cours d’écriture raconte les modes culinaires et les mises de table de son époque favorite : celle de Louis XIV qui a entre autres créé le port de Sète. « Attention, je déplore bien entendu tout ce que ce personnage a fait d’atroce mais j’admire son côté visionnaire, son aspect protecteur des artistes. Jamais l’image de la France des arts et lettres, de l’architecture, n’a été aussi puissante qu’à cette époque. Il a énormément investi au plan culturel, créé l’Académie française… Il avait le sens de l’histoire et de ce qui allait durer ».
Sociable jusqu’au bout des ongles, cette femme a l’enthousiasme communicatif. « Dans ma vie, j’ai eu des petites et des grandes maisons mais nous avons toujours été nombreux autour de la table ». La recette a également pris à Sète où, habitante depuis sept ans, elle a déjà noué de nombreuses relations. Elle y dirige son agence aux côtés de plusieurs de ses collaboratrices qui ont aussi eu le coup de foudre et sont toutes sétoises désormais. Maintenant que son entreprise est à nouveau sur les rails, Marie de La Forest veut prendre le temps de se consacrer à cette ville qui l’a si bien accueillie. Et pourquoi ne pas créer un nouveau trait d’union entre ses deux nouvelles passions : la politique et Sète ? « Nous sommes tous férus de politique à la maison. Ma mère qui a 86 ans écoute tous les débats télévisés et connaît les personnages de l’Etat mieux que moi ! » La ville a tout à gagner à faire confiance à cette, femme généreuse, dynamique et entreprenante, adhérente de l’UDI et qui a choisi, comme une évidence, de s’engager auprès de François Commeinhes.
Patrick André
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A l’entendre, assurer la protection d’un président de la République n’est pas plus compliqué que de superviser l’organisation d’une manifestation locale. « Ce qui compte, c’est de tout préparer dans les moindres détails. Après, quelle que soit la situation, les techniques sont les mêmes. » L’homme sait de quoi il parle. Officier de réserve de gendarmerie, Patrick André intègre à 21 ans le GIGN où il est rattaché au groupe de sécurité de la présidence de la République pendant seize ans. Spécialisé dans la protection rapprochée en environnements dégradés, il participe à la libération de l’aéroport de Sarajevo le 29 juin 1992. « J’étais en mission en Corse lorsque nous avons été appelés. Nous sommes intervenus alors qu’il y avait encore des troupes au sol. La situation était très tendue ».
En 2002, Patrick André prend le commandement du Groupe de protection de la gendarmerie de l’Armement, puis d’une unité de gendarmerie mobile à Toulouse. En 2010, il est nommé au Groupe des opérations extérieures et affecté en Côte d’ivoire en pleine guerre civile pour assurer la protection d’Alassane Ouattara et de 19 de ses ministres. Sous ses ordres : 300 officiers et sous-officiers originaires de 5 nationalités. « Une mission complexe et très éprouvante au plan humain », reconnaît-il. Patrick André mettra un an à se remettre de ce qu’il a vu sur place. C’est une des raisons pour lesquelles il choisit de prendre sa retraite. « J’étais un peu inquiet de repartir en n’ayant plus la même forme physique qu’auparavant et ma compagne a fini de me convaincre ». De sa vie professionnelle, l’homme ne retient que le positif. « C’est une expérience exaltante et très enrichissante car pour travailler avec des pays étrangers, il faut apprendre à connaître les autres, savoir comment ils vivent et j’ai beaucoup appris. » Aujourd’hui, l’officier d’Etat major continue à se rendre dans différents pays pour former les forces de l’ordre.
Installé à Sète depuis quatre ans, il découvre le temps libre et savoure désormais les plaisirs simples d’un dîner entre amis, d’une soirée au théâtre, ou d’un concert. Il est d’ailleurs impressionné par la vitalité culturelle de Sète. « C’est incroyable le nombre d’événements pour une ville de cette taille ». Natif de Calais, Patrick André s’est découvert à Sète une nouvelle passion: la voile. «C’est un monde qui n’est pas si différent du mien. Techniquement, ce n’est jamais deux fois pareil, c’est aussi un travail d’équipe ». Lui pour qui les autres ont longtemps été une question de vie ou de mort sait que « seul, on n’arrive jamais à rien. » Ce professionnel de la sécurité trouve le travail réalisé par François Commeinhes intéressant. « Il y a une réelle volonté d’aller de l’avant. Je comprends qu’une personne âgée n’ait pas le même sentiment que moi mais il faut aller leur expliquer ce qui est fait afin de les rassurer. » Désireux de se rendre utile dans une ville où il a été si bien accueilli, Patrick André a choisi de soutenir François Commeinhes évidemment.
Alain Arménio
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Du port de Sète, Alain Arménio connaît toutes les composantes. Recruté dès sa sortie de l’armée à la SNCM pour faire du shipping, il a exercé ce métier pendant près de trente ans. Relations avec les navires, recrutement de fret, stockage, préparation des escales…
Ses fonctions lui ont offert un très bon poste d’observation. «J’ai connu le port florissant des années 70/80 et je l’ai vu petit à petit décliner», déplore-t-il. Pour lui, un virage a été manqué au moment de l’essor du trafic des marchandises diverses. «Aujourd’hui, Sète ne peut plus se positionner sur les trafics des gros conteneurs qui sont concentrés sur Gênes et Barcelone mais il reste des opportunités pour les trafics intermédiaires. » Une activité porteuse en termes d’emploi tout autant que la plaisance qu’Alain Arménio se réjouit de voir enfin se développer à Sète.
De ses années passées sur le port, Alain Armenio garde le souvenir d’odeurs, d’une ambiance tout à fait particulière. « Lorsque vous arrivez à 6h30 dans la zone portuaire déserte et que vous embarquez sur un bateau, c’est un instant magique ». Son tempérament énergique l’a aidé à s’imposer dans un milieu pas forcément facile. « Pour manager des équipes sur le port, il ne faut pas se laisser impressionner. Il y a beaucoup de pression et il faut savoir faire ses preuves », souligne-t-il. S’il a passé une partie de sa vie sur les quais, il n’a jamais franchi le pas et embarqué. « Ce n’est pas faute d’opportunités. Par deux fois, on m’a proposé une mission très intéressante à l’étranger dans le secteur pétrolier. Mais au dernier moment, ça ne s’est pas fait ». Aujourd’hui, c’est sa fille qui prend le relais. A peine revenue de Saint- Martin, elle vient de repartir pour la Martinique où elle va travailler dans un complexe touristique haut de gamme. « Elle fait ce que je n’ai pas pu faire ! », sourit attendri ce père et beau-père de quatre enfants. Né à Sète, Alain Arménio a connu la belle époque du lycée Paul-Valéry. Son bac, il l’a eu « parce que ses parents l’y ont obligé » mais avec mention tout de même ! Fidèle et droit, l’homme s’est fixé des lignes de conduite assez claires sans pour autant ne jamais se remettre en question : « La critique est souvent productive », relève celui qui est aujourd’hui actionnaire d’un bureau de tabac à Sète. Peu enclin à la politique, ce dirigeant d’entreprise fait le choix de s’engager pour soutenir François Commeinhes. « Au départ, je pensais que c’était quelqu’un de très occupé qui n’aurait pas le temps de suivre les dossiers. Finalement, je m’aperçois qu’il s’occupe très bien de la ville et qu’ il a fait de très belles réalisations. Aujourd’ hui, il faut faire confiance à l’ expérience. Le contexte financier étant difficile, nous n’avons plus le droit à l’erreur. » C’est pourquoi Alain Arménio invite les Sétois à ne pas se tromper et à soutenir François Commeinhes, évidemment.
Corinne Azaïs
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Fille de docker, femme de mareyeur et ex-femme de patron pêcheur… Corinne Azaïs a toujours été en rapport avec la mer et la vie portuaire. Depuis 1992, elle a pris place à la Criée de Sète où elle achète le poisson pour le compte de différentes sociétés. «J’adore ce métier.
Chaque jour est un jour nouveau. Il faut appeler les clients, établir les prévisions de commandes et négocier le prix du
poisson». Aujourd’hui, elle manie l’art des enchères descendantes comme personne et sait proposer le prix
juste pour ne pas surpayer la marchandise mais offrir suffisamment pour remporter le lot. Pas facile cependant de se faire une place dans ce milieu majoritairement masculin. Mais Corinne Azaïs a du tempérament. Originaire d’Italie par sa mère, elle a grandi dans une famille où ce sont les femmes qui tiennent la barre. « Ma mère avait déjà un fort caractère. Elle a été gérante d’un bar sur la Marine pendant quinze ans. Ma grand-mère était aussi une femme très forte qui s’adaptait à toutes les situations et ma sœur exerce le même métier que moi ». Aujourd’hui, Corinne Azaïs est responsable de la partie achat et commerciale dans la société de son mari, mareyeur dans la zone industrielle des eaux blanches. Femme de dialogue, elle regrette le manque de concertation entre les mareyeurs et les pêcheurs. « Ces deux professions auraient tout à gagner à mieux communiquer ensemble », souligne-t-elle. Si elle a assisté à quelques mythiques parties de pêche au thon ou au chalut, son plaisir maritime favori, c’est de partir en croisière pour aller des rives de la Méditerranée aux côtes des Etats-Unis ou d’Afrique du Nord. Amatrice de grands espaces, elle aime marcher en pleine campagne mais apprécie tout autant de prendre un café entre amies à l’une des nombreuses terrasses de Sète. Attachée à sa vie de famille, cette maman d’une jeune femme de 30 ans, l’est tout autant à sa ville natale. «J’adore ma ville. Le seul regret que j’ai, c’est de ne jamais avoir pu la découvrir en tant que touriste. Ce doit être un moment formidable », confie-t-elle en se remémorant la première fois qu’elle a vu Venise. Pour défendre sa ville et lui bâtir un avenir digne d’elle, Corinne Azaïs a choisi de soutenir François Commeinhes, c’est évident. Une première pour cette femme active qui ne s’est jamais engagée en politique auparavant : « Aujourd’hui, je suis davantage disponible et j’ai envie de mettre à profit ce temps libre pour faire avancer ma ville aux côtés d’une équipe expérimentée, volontaire et efficace ».
Hervé Merz
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Né à Madagascar, d’un père pied-noir et d’une mère bretonne, Hervé Merz a une sœur née à Saïgon et une
deuxième à Casablanca. Avec un père chirurgien qui a déménagé plus de cinquante fois dans sa vie, Hervé Merz
n’a eu de cesse de s’enraciner quelque part. En 1986, il jette l’ancre à Sète et trouve tout à la fois un port
d’attache et une épouse d’origine sétoise. Titulaire d’un DESS du droit de la consommation et d’un BTS publicité, il
est recruté très jeune comme chef de pub chez Havas
Conseil. Il y gère les budgets de marques tels que Suchard, Bridel, Gayelord Haüser… « C’est l’époque où le moindre spot publicitaire coûtait dans les 45000 francs », se souvient-t-il. Mais à Paris, Sète lui manque autant qu’à son épouse. « Ce métier est exaltant mais nous n’étions vraiment pas faits pour la vie parisienne ». De retour en terre singulière, ce jeune père de famille prend la direction de Thau santé travail, association présidée à 50/50 par des dirigeants d’entreprise et des représentants syndicaux et chargée de la prévention des risques professionnels. La structure, qui comptait à l’époque une quinzaine de salariés, en emploie trente aujourd’hui et veille sur la santé du personnel d’environ 3000 entreprises publiques et privées. « Un fabuleux poste d’observation au plan économique », note-t-il. En marge de son travail, il donne des cours à la faculté de Montpellier en droit du travail, en tant qu’intervenant professionnel. Il participe aussi comme administrateur aux destinées de l’association Habitat Sète (ex-foyer des jeunes travailleurs).
De religion protestante, Hervé Merz est aussi père de trois grandes filles, toutes nées à Sète. L’aînée travaille chez Park n’ suite à Montpellier, la cadette est ingénieur en énergies nouvelles à Madrid et la plus jeune architecte à Bordeaux. Passionné d’art plastique, Hervé Merz est un « très vieil » étudiant des Beaux-arts. Il suit toujours aujourd’hui les cours de l’école de Sète où il pratique tout à la fois le volume, la sculpture, la peinture… Elu en 1990, il a été conseiller municipal chargé de la communication de la ville puis du social en tant qu’adjoint. Aujourd’hui, il reste perplexe face au retour de son ancien mentor. « Je suis admiratif de ce qu’a fait Yves Marchand à son époque mais aujourd’hui les temps ont changé, les clivages ne sont plus les mêmes et Frêche est mort…paix à son âme ». Désireux de donner de son temps à la vie civique, il fait confiance à François Commeinhes pour s’occuper de l’avenir de Sète. « C’est un homme qui a réussi à redynamiser sa ville, il a fait de l’excellent travail, il a normalisé les relations avec la Région et a apaisé les conseils municipaux. Il a une bonne imprégnation des enjeux et un goût esthétique certain en termes d’aménagement. » Pour toutes ces raisons, le meilleur maire pour Hervé Merz, c’est François Commeinhes, c’est évident.
Romain Ferrara
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Natif de l’île singulière, Romain Ferrara est un amoureux inconditionnel de sa ville. « Lorsqu’en bateau, j’aperçois
l’entrée du port avec le mont Saint-Clair en arrière-plan, j’ai toujours le sourire aux lèvres et je me dis que ne partirai jamais». Ses études le conduisent pourtant jusqu’à Montpellier. En parallèle de sa licence en droit privé, il intègre le magistère droit des affaires et fiscalité, une formation réputée, que seule une dizaine d’établissements propose en France. En 2010, il rate l’examen du barreau et vit assez mal ce qu’il appelle « son premier échec professionnel ». Il choisit de s’envoler pour un voyage de six mois en solitaire. Direction la Thaïlande puis l’Amérique du Sud. Sur place, il fait des rencontres insolites comme ce réalisateur de documentaire chilien, activiste sous Pinochet, dont il fait la connaissance au fin fond dans la région des lacs. Il découvre aussi les conditions déplorables dans lesquels travaillent les mineurs d’argent en Bolivie et pousse l’évasion jusqu’à partir une semaine avec une tribu en pleine Amazonie. De retour en France, cet ancien joueur du tennis club du Mas Viel, passionné de pêche, reprend assidûment ses études et réussit son master II. Aujourd’hui, il mène de front son métier de juriste d’entreprise et sa thèse en droit de l’urbanisme et de la construction. Il est en parallèle responsable départemental des jeunes UMP de l’Hérault. Assumer vie professionnelle, engagements politiques et études… Romain Ferrara l’a toujours fait. « Au lycée, j’étais délégué de classe. Je me suis beaucoup investi pour la reprise des cours lors des manifestations anti CPE. A l’issue de ce combat, je suis entré à l’UMP car je me sentais proche de ce parti au plan idéologique ». En marge de ses études, il trouve aussi le temps et l’énergie pour s’investir au plan associatif. En 2008, il fonde un cercle épicurien de découverte des produits du terroir nommé le Saint-Vincent Club. Peu de temps après, il crée avec un ami avocat un site d’actualités juridiques et locales où il écrit des articles sur le monde de la pêche notamment. « Notre ambition était à l’époque de créer notre propre cabinet d’avocat et il n’est pas dit que nous n’y parvenions pas un jour ».
L’été, Romain Ferrara profite pleinement de Sète tout en travaillant dans un camping, une banque… « J’ai aussi été agent d’accueil à l’Office de tourisme ». Il garde de cette dernière expérience un excellent souvenir. « C’était un rituel d’ouvrir la carte de Sète et de faire découvrir les endroits sympathiques. Je l’ai peut-être fait mille fois mais toujours avec un réel plaisir ». Lui qui a grandi avec les réalisations de François Commeinhes se sent vraiment bien à Sète. « Aujourd’hui, la ville a changé et les jeunes Sétois sont très contents de vivre ici». Pour poursuivre et amplifier cette action, il choisit de soutenir la candidature de François Commeinhes, c’est évident.
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