Municipales : Changer ! ... Avec Régis PASSERIEUX
Dans le calme et la sérénité, mais avec détermination, les agathois s'apprêtent à voter.…
Dans le calme et la sérénité, mais avec détermination, les agathois s’apprêtent à voter. Après 7 ans de responsabilité de l’équipe sortante, la ville sort marquée par la gestion de Gilles D’ETTORRE : chaque agathois peut chaque jour constater ce qu’est devenue notre ville à la fois meurtrie dans son paysage et son cadre de vie, immobile et peu entretenue.
Ce bilan permet de mesurer les capacités du maire sortant et de choisir, non sur des promesses, mais en conséquence de cause : c’est sur du concret que les agathois peuvent aujourd’hui se faire leur opinion et décider. La majorité des agathois ne veut pas vivre demain dans une ville négligée, bétonnée, abimée dans son cadre de vie, une ville éteinte, sans vision et sans avenir. Ils veulent changer, retrouver une fierté collective, une joie de vivre dans la cité, un beau cadre de vie et un avenir.
Il faut changer de direction et d’options pour l’avenir :
Première option : changer d’abord la politique d’urbanisme et de cadre de vie, en arrêtant le bétonnage effréné. Il faut changer les règles d’urbanisme et répartir sur l’ensemble du pays agathois, harmonieusement, l’habitat. Ce bétonnage stoppé, un plan d’embellissement et d’entretien paysager sera la première priorité : plutôt que gaspiller l’argent sur de couteux ronds-points, le verdissement de la ville, l’amélioration des espaces collectifs, des trottoirs, des voieries, la lutte contre la publicité anarchique sera l’objet d’un plan cohérent et immédiat, précautionneux et méthodique, pour rendre notre ville belle et douce à vivre.
Deuxième priorité : prendre l’option du sauvetage et de la relance du centre ville : notre centre ville est abandonné et méprisé. Il est pourtant l’âme de la ville. Port de plaisance, parkings, aménagement de l’Hérault, retour de la mairie, politique nouvelle de l’habitat seront mises en œuvre dès l’automne 2008.
Troisième action : améliorer concrètement la vie quotidienne, par un plan « bien vieillir » en Agde, pour les séniors (maintien et service à domicile, veille de quartier, transports à la carte, retour d’une maison de retraite), l’implantation de deux « Maisons pour Tous » au Grau et au Cap, une nouvelle politique de jeunesse et pour les écoles et, enfin, un service d’urgence sanitaire à Agde.
Quatrième engagement : refaire d’AGDE une ville de développement économique, en relançant les grands événements et les animations abandonnés (plaisance, culture…), en formant les jeunes, en attirant les investissements et en stimulant les projets (aquarium, centre de thalassothérapie, école hôtelière, pépinière d’entreprise,…).
Pour mener en œuvre ces changements, il en faut la capacité. La capacité c’est d’abord une équipe compétente : l’équipe d’ « Agde 2008 Plus belle la ville » rassemble des talents concrets, solides, qui ont fait tous leurs preuves dans leur vie personnelle, leur engagement, leur vie professionnelle. C’est une valeur sure et une garantie pour notre ville.
Il faudra aussi la capacité financière : nos impôts doivent baisser, régulièrement et progressivement et l’avenir financier des collectivités locales sera serré et rigoureux. C’est pourquoi, notre programme ne propose aucun projet disproportionné et déraisonnable. C’est pourquoi nous abandonnerons immédiatement le projet absurde de centre aquatique de 14 millions d’euros dont la réalisation compromettrait durablement les capacités financières de la ville.
Mais cette capacité financière, nous pourrons la retrouver avec l’aide des deux grandes collectivités de soutien : le Conseil Général et le Conseil Régional. Régis PASSERIEUX a à la fois le soutien résolu pour nos projets de la Majorité Départementale au Conseil Général, dont il est membre, et de Georges FRECHE, Président du Conseil Régional, qui s’est clairement engagé pour un nouveau développement d’Agde, autour de Régis PASSERIEUX.
Il faut pour notre ville aller chercher des moyens et de la richesse : Régis PASSERIEUX en a prouvé sa capacité. Il faut pour notre ville une capacité à gérer, pour la relever.
Il faut pour notre ville du changement : pour gagner, c’est le premier tour qui compte, qui donne l’élan, et qui permettra de changer d’équipe. Ne manquons surtout pas le rendez-vous pour donner un nouveau départ à notre ville. Votez ferme et clair dès le 9 mars.