Parce que je t'aime .. par Claude Marais
Frèche … Frèche …Frèche ! Les journaux, les radios, Internet ne parlent que de…
Frèche … Frèche …Frèche ! Les journaux, les radios, Internet ne parlent que de toi ce matin ! Il est vrai que tu fais encore une fois l’évènement ! Parce que je t’aime, je ne veux pas que l’on te réduise à 2 minutes de propos à l’encontre de quelques hommes provocateurs.
Parce que je t’aime, je veux aussi que l’on se souvienne que tu es celui, le seul jusqu’à présent , qui a su transformer durablement cette grande ville de Montpellier .C’est maintenant une ville moderne. C’est grâce à toi une ville fière d’elle-même. C’est déjà une ville sans complexe qui parle sur un pied d’égalité avec les plus grandes !
Parce que je t’aime, je ne veux pas qu’on occulte l’immense travail qui se réalise maintenant quotidiennement dans notre région Languedoc-Roussillon que tu présides.
Homme de caractère tu es et tu resteras. C’est aussi pour cela que tu es si rare !
Mais pourquoi te laisser entraîner sur le terrain de tes ennemis ?
Tu as trop lutté pour la démocratie pour ne plus admettre le débat.
Si tes opposants se trompent et luttent contre leurs propres intérêts c’est leur droit ! Chacun est libre de se fourvoyer.
Si tu as fait embaucher un homme qui cherchait du travail, tu as fait œuvre utile. Ne lui demande pas de penser comme toi. La liberté ne se divise pas.
Parce que je t’aime, j’accepte ce caractère entier qui est le tien et sans lequel tu n’aurais pas obtenu les réussites qui sont les tiennes… mais comment admettre cet autre aspect de ta personnalité qui te laisse échapper des mots graves comme sous-homme.
Je suis heureux que tu te sois excusé , même si, connaissant ton grand cœur, je te sais capable de le faire avec plus de lyrisme.
Parce que nous sommes Socialistes et au-delà ,simplement car nous aimons les gens, ne nous laissons plus emporter par l’instinct primaire qui sommeille en chacun de nous. Un adversaire, comme tout homme est respectable. S’il ne l’est pas, transformons-le . Le socialisme est un combat journalier, mais choisissons les armes nobles qui sont naturellement les nôtres. Elles ont nom : Débat, Démocratie.
Georges , parce que nous avons encore besoin de toi, ne te laisse pas enfermer dans des propos indignes de toi et t’éloigner de l’œuvre que tu as déjà accomplie. Il nous reste encore tellement à faire.
Claude MARAIS
Qui est-ce ? – Fiche TrominosCap : https://www.herault-tribune.com/?p=p04&action=view&Tr_Id=488