PEZENAS - Région et ville offrent des masques aux élèves Piscénois
Comme en novembre, une nouvelle série de masques vient d’être offerte aux enfants scolarisés…
Comme en novembre, une nouvelle série de masques vient d’être offerte aux enfants scolarisés du CP au CM2 à Pézenas. Pour cette distribution, c’est un partenariat entre la ville et la région Occitanie qui a permis que cette dernière fournisse suffisamment de masques pour que les petits piscénois puissent en recevoir deux chacun. Pour ne rien gâcher à cette initiative, ces masques de catégorie 1 sont fabriqués sur le territoire régional et contribuent donc à la relance économique tout en assurant une production de proximité.
Présente lors de la livraison, Danièle Azemar, Conseillère régionale, a pu rappeler que « depuis mars, conformément à la volonté de Carole Delga, la région est pleinement mobilisée pour faire face à la crise sanitaire notamment par la distribution de masques, la réalisation de campagnes de tests grâce à « proxitest », l’application des protocoles sanitaires en milieu scolaire, le soutien aux élèves en formation dans les domaines de la santé et du sanitaire, la distribution d’aides alimentaires en produit frais issus de circuits courts pour les personnes en situation de précarité, et pour les étudiants en difficulté financière qui ont pu également bénéficier de mise à disposition de micro-ordinateurs. S’ajoute à cela, dès demain, l’organisation d’un service de transports à la demande gratuits, pour les personnes de plus de 75 ans qui ne peuvent se déplacer seuls vers les centres de vaccination ».
Une action qu’Armand Rivière, Maire de Pézenas, a tenu à saluer lors de la réception de ces masques en précisant « l’importance de l’esprit partenarial de Carole Delga et de la région. Surtout que la collectivité régionale intervient aussi fortement pour faire face aux conséquences sociales et économiques des crises en cours ». Pour lui, « les actes des collectivités locales sont complémentaires et se renforcent comme le démontre cette distribution qui suit celle faite par la ville en novembre et qui est une action municipale parmi d’autres, comme la mise à disposition de locaux pour le centre de dépistage, ou les moyens mis à disposition de l’hôpital local pour l’ouverture d’un lieu de vaccination ». Pour autant, tout en assumant l’activisme de la ville, le Premier magistrat prolonge la réflexion sur « le coût de ces mesures pertinentes qui, souvent, pallient des carences de l’Etat et qui, pour l’instant, ne sont pas compensées à leur juste valeur ».