VIAS - La révision générale du POS transformée en PLU proposée, révèle quelques incohérences !
La révision générale du POS transformée en PLU proposée, révèle quelques incohérences : Le faux…
La révision générale du POS transformée en PLU proposée, révèle quelques incohérences :
Le faux jugement du tourisme dit de masse, à l’encontre de nos établissements étoilés dont l’activité pérenne annualise de nombreux salariés et financent par leurs taxes les aménagements environnementaux de la compétence de l’agglo.
L’échelle humaine est bien peu considérée dans ce plan.
Avons-nous la maitrise de la ressource en eau pour toutes les nouvelles constructions.
Où peuvent se trouver les 5ha constructibles sur Vias Plage, la ZAC n’existant plus depuis le jugement rendu sur l’extension de celle-ci, non conforme à la loi littorale ?
L’agglo. gérant les zones artisanales sur son terroir devrait penser d’abord à compléter les dents creuses avant d’engager l’agrandissement de notre parc d’activité « la Source » qui par contre a besoin d’aménagement de parkings et d’une amélioration des nouveaux moyens technologiques de communication.
L’interconnexion des attributions décisionnelles est confuse entre la commune, l’agglo. CAHM, le PLHI, le Scot biterrois et les contraintes de la loi littorale et du PPRI.
En final avons-nous les moyens nécessaires en cette période de récession de valider ce PLU ?
La municipalité prend la place de l’entreprise, facture des prestations auprès de particulier avec un barème tarifant les services, concurrençant l’entrepreneur qui payent taxes et impôts.
La municipalité vend au prix coûtant à l’OPAC un immeuble pour être transformé en logements sociaux et ainsi en perd la propriété, alinéant définitivement ce bien. Par le passé ces immeubles faisaient l’objet d’une restauration de l’OPAC qui se remboursait les travaux par l’obtention de loyers. Une fois le remboursement terminé, les loyers sociaux par la commune toujours propriétaire.