Abattage rituel : Non à l’impôt islamique

Communiqué  de France Jamet, Présidente du groupe Front National au Conseil régional du Languedoc Roussillon

La campagne d’affichage contre l’abattage rituel qui se développe sur 20 panneaux à Béziers et dans 46 autres villes françaises tend à sensibiliser nos concitoyens sur des pratiques d’un autre temps consistant à faire souffrir inutilement et sauvagement les animaux destinés à notre nourriture.

Contrairement au titre paru dans la presse régionale, ce n’est pas cette campagne qui fait polémique mais bel et bien la dérogation que la France a exigé et arraché à l’Union Européenne afin qu’il soit possible, dans notre pays, de tuer les bêtes sans les étourdir préalablement. Et nos dirigeants UMPS qui ont l’habitude de se mettre à plat ventre devant le géant supranational quand cela concerne nos agriculteurs, nos pêcheurs, nos viticulteurs, nos artisans et nos commerçants, se décident, là, à gonfler leurs petits bras lorsqu’il s’agit de défendre les pratiques d’une communauté religieuse à l’égard du monde animal qui sont en contradiction flagrante avec la loi naturelle et qui violent celles de notre République.

Depuis le 2 août dernier, la marque «Isla Délice » qui appartient à la société « Zaphir », a déployé plus de 6000 affiches publicitaires portant la signature « fièrement hallal », sur quelque 150 villes françaises. Personne, si ce n’est le Front National, n’a cru devoir relever le caractère illégal et inconstitutionnel de cette publicité dans notre pays laïc. Ces affiches n’ont semble-t-il dérangé aucun dirigeant de notre pays qu’il soit responsable politique, patron industriel ou magnat de la presse.

Non seulement on fait consommer de la viande Hallal à nos concitoyens « sans qu’ils le sachent», mais plus encore, on les oblige à payer l’impôt islamique prélevé systématiquement sur cette viande par les organismes musulmans de certification.

France Jamet, Présidente du groupe Front National au Conseil régional de Languedoc-Roussillon, remercie sincèrement les sept organisations de défense des animaux qui ont osé bravé un interdit « politiquement incorrect » afin d’atténuer la souffrance de nos amis quadrupèdes et pour sortir le genre humain de l’âge de pierre comme de celui de la dîme.