AGDE - Présentation et signature du nouveau livre de Régis PASSERIEUX - Lundi 23 janvier 2017
Ce lundi 23 janvier 2017 à partir de 18H, avec la collaboration de la…
Ce lundi 23 janvier 2017 à partir de 18H, avec la collaboration de la boutique livre de l’Hyper U, Régis Passerieux dédicacera son nouveau livre, à paraître le 19 janvier, « Une France à réinventer » (Editions de Paris, Max Chaleil). La signature aura lieu au restaurant Hippopotamus, dans la galerie marchande de l’Hyper U. Il sera suivi d’un apéritif convivial.
Ce livre souligne que dans un monde sans transmission, des générations de tacticiens égoïstes ont laissé se dissoudre les valeurs de la France et, avec elles, l’engagement collectif. Sans courage, dénuées de la volonté d’agir, elles n’ont pas lutté contre l’érosion des legs et des principes reçus, elles ont abandonné l’Europe, son histoire et son socle de traditions. Elles lèguent à nos descendants un héritage d’injustices et une dette financière abyssale.
Régis Passerieux invite à comprendre les évènements que nous traversons, fruits d’une malédiction qui a pris naissance dans le silence au lendemain des grands conflits. Ce mutisme est une faute, une lâcheté et un renoncement. Il légitime le pouvoir sans limite – tant en politique que dans l’entreprise ou dans les médias – de dirigeants sans principes, incapables de donner du sens à l’action.
Face au paroxysme du désordre mondial qui résulte de cette démission, l’auteur appelle à retrouver ce qu’il y a de meilleur dans nos croyances, notre culture, nos fondements, en restaurant enfin la parole et la transmission. Et, sur ces bases, à s’engager résolument dans l’action collective, y participer et l’inspirer.
Aucun choix collectif n’est autorisé à puiser dans une vision spirituelle du monde. Cette approche est systématiquement qualifiée de réactionnaire, passéiste et religieuse par des censeurs vigilants. L’humanisme « nouvelle vague » ne conçoit que l’organisation étatique et politique d’une société narcissique de désirs juxtaposés, organisée autour de droits, et de communautés. L’ouvrage combat fermement ce bannissement strict, intolérant, des sources spirituelles de la pensée hors de la vie sociale et politique.
En refusant, en tarissant ses sources spirituelles, la France s’assèche, et se referme dans un égocentrisme et une mélancolie stériles ; elle se coupe de son message universaliste, perd son inspiration et rend impossible un projet de progrès.