Cap d'Agde - Question orale à L'Assemblée nationale de Maxime GREMETZ
Une question orale à l'Assemblée Nationale concernant quasi exclusivement le Cap d'Agde, cela n'est…
Une question orale à l’Assemblée Nationale concernant quasi exclusivement le Cap d’Agde, cela n’est pas habituel.
La question posée dans la torpeur estivale, le 28 juillet dernier n’a réveillé ni les passions, ni peut etre kles quelsques rares députés présents en séance.
Jusqu’ici rien que de la routine me direz vous.Le plus surprenant c’est que l’on pouvait s’attendre, sur une question concernant l’aménagement du Cap d’Agde que ce soit notre député maire Gilles D’ETTORE qui se penche sur la question.
Mais notre député, dont on a pourtant pu constaté un pic de fréquentation au mois de Juillet n’est pas l’auteur de cette question concernant le respect des équipements collectifs dans notre station au cours des quatre derniéres mandatures municipales. ( Pour rappel, on peut suivre son activité ici même ) et ses votes ici même )
C’est Maxime GREMETZ le bouillonnant député communiste de la Première circonscription d’Amiens dans la SOMME ( 80 ) qui pose la question. Étonnant pour une question concernant un territoire situé à 894 km de sa circonscription !
Certes les députés sont les élus de la République avant tout, mais ils se targuent généralement tous d’une représentation locale pour conquérir nos suffrages. Alors quelle est la rasion sous jacente à cette levée de pavois ? Proximité politique et affective entretenue entre Maxime GREMETZ et Francois LIBERTI voire également avec l’ancien député suppléant communiste Michel MUR, pére de l’adversaire malheureux de Gilles D’ETTORE, Fabrice MUR ? Nul ne le sait vraiment.
Mais la sévérité de la question qui porterait sur des espaces publics non respectés de l’ordre de 7 à 10 % n’est pas sans rappeler une affaire qui avait secouée le landerneau politique local à l’époque de Pierre Leroy Beaulieu. A en croire Maxime GREMETZ les irrégularités auraient perduré.
La question est sans ambiguïté : Comment les services de l’ETAT ont-ils pu délivrer des permis de construire en violation des dispositions des cahiers des charges générales et particuliers ?
Voir la question dans son intégralité
On peut lire le texte de la question posée à l’Assemblée Nationale, même si pour l’heure aucune réponse n’a encore été apportée par Michel MERCIER, Ministre
En cliquant sur ce lien vous pourrez être alerté de la réponse ministérielle ( ou de toute intervention sur un sujet thémathique ou nominatif ) dés sa publication : Alerte