Faits divers

Complément à " Si le Cap m'était conté " par Michel LALANDE

Bel article sur «Si le Cap m’était conté » Didier. On comprend que tu…

Bel article sur «Si le Cap m’était conté » Didier.
On comprend que tu n’aies pas pu citer tous les «faiseurs»  du Cap.

Nous étions à l’époque une centaine a avoir fabriqué le Cap. Il y avait les artisans du commerce et les artisans de la nuit, souvent les mêmes. Parmi eux je ne citerai, pour la nuit, que Noé Palop fondateur de la première discothèque «l’Arche de Noë» sur une péniche alors que Port St Martin n’existait pas. Il fut suivi par Tania, l’incontournable “Régine” de la station avec «L’Ephèbe» puis le «Kong Tiki», Albert Cassou, grand personnage, à «Nat 2000».
Question commerces, Françis et Françoise Couzinié, avec la «Capgetterie»  firent de la rue de la Hune l’endroit le plus commerçant de la commune. Avec eux, Ted de la « Gargoulette », Jean Planche « Papini» et bien d’autres à qui je rends hommage.

Pierre Uriot pépiniériste a planté la majorité des espaces verts du Cap. Il s’est retiré laissant la place à Luc Belsœur qui a su perpétuer son action.

Chez les naturistes, alors que Gaby Ruiz vaquait à d’autres occupations, citons Georges Gimenez, boucher truculent, Gérard Fitussi Directeur de la seule supérette du camp, Bruno Lapeyre, alors patron du restaurant L’Horizon, les Bofs, tenanciers de l’incontournable restaurant le « Bar des sables » chez qui une dizaine de grands «faiseurs» se retrouvaient tous les midis. Et puis, Ginou de « midi minuit » José son éternel chevalier servant, Michel Desnos vraisemblablement le premier « multiservices » de la station… Je cite également Christian Albavi,  qui a, par ses méthodes, étonné tout le monde dans sa façon d’intervenir dans sa gestion d’achats  immobiliers.

N’oublions pas Bernard Redon et Marc Battman qui à eux deux ont commercialisé la majorité des appartements de la station, André Boudou, promoteur à l’époque puis créateur, avec Jacky Bonnieu des plus importantes discothèques de la région, Le «Petit Libertys» puis l’ «Amnésia». Pédro Ferreira loueur de voitures de grand luxe et patron de l’unité de location de bateaux la plus en vue du Cap. Gérard et Véronique Rey et leur équipe, acteurs infatigables du développement du nautisme Cap Agathois.
Question Play boy, je salu mon ami Jacky Fourny à qui aucune fille en vue n’a échappé.
Je n’oublierai pas de parler de notre regretté Jacques Guittet photographe éminent de la station à qui on doit des centaines de clichés encore utilisés par l’Office de tourisme, ni de notre ami Georges Kermabon qui, avec Alain Cola, ont transporté l’image du Cap sur toutes les mers du monde. Plus récemment saluons Wilfrid Lelandais qui a amené Aqualand parmi les plus importants parcs aquatiques d’Europe. Le Casino de jeux, quant à lui, a contribué au développement rapide de notre station grâce à sa participation active aux finances communales.

Beaucoup ont disparus mais leurs souvenirs demeurent dans la mémoire des vrais pionniers.
Que ces vrais pionniers me pardonnent si je ne les ai pas tous cités mais qu’ils sachent que je les ai tous connus. Grâce à leur assiduité et l’extrème compétence quarantenaire de Denise ils ont permis de faire devenir mon restaurant d’Agde, créé en 1971, où la concurrence, à part “Bébert” et «la Galiote» n’existait pas, comme le disait Gérard Denestèbe, le “premier Restaurant du Cap”.

Michel LALANDE

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