HERAULT - Démenti de Marie-Hélène Leclercq
Communiqué de Marie-Hélène Leclercq candidate de la France Insoumise aux élections législatives dans la 7ème circonscription…
Communiqué de Marie-Hélène Leclercq
candidate de la France Insoumise aux élections législatives
dans la 7ème circonscription de l’Hérault
Je suis la candidate de la France Insoumise aux élections législatives de la septième
circonscription de l’Hérault.
J’ai été élue avec Arnaud Cambon par l’assemblée citoyenne de la France Insoumise pour la
circonscription, qui s’est tenue à Vias le 13 janvier 2017. Ma candidature et la sienne ont été
validées par le comité électoral national de la France Insoumise.
Depuis fin février suite à notre interview parue dans Hérault Tribune ainsi que dans le Midi libre
du 25 février 2017, page Agde, une campagne de dénigrement visant à discréditer la
candidature de la France Insoumise se met en place sur les villes et villages de la
circonscription. Il est fait référence à un document de campagne édité par l’équipe de François
Commeinhes en mars 2014 pour les municipales, tract sur lequel figure mon nom parmi quinze
autres, suivi de deux phrases qui me sont implicitement attribuées.
Contrairement à ce qui est répandu par mes détracteurs :
• Je n’ai jamais fait parti d’un quelconque comité de soutien au maire UMP/LR de Sète.
• Je n’ai jamais soutenu sa candidature.
• Je n’ai jamais tenu les propos publiés par l’équipe de François Commeinhes
• Le document de mars 2014 ne m’a pas été soumis pour approbation, je ne l’ai jamais lu avant
que le journaliste ne l’exhume de ses archives trois ans après et me le présente élégamment à
la fin de l’interview, ce qui explique que je n’ai pu démentir en temps voulu l’utilisation abusive
qui a été faite de mon nom.
Les élus et les citoyens attentifs ont une longue expérience des pratiques et manipulations des
communicants du maire de Sète.
Je m’étonne que celles-ci soient aujourd’hui reprises et relayées par des candidats concurrents
pour les élections législatives. Ces méthodes ne sont pas les nôtres.
Nous avançons sur des idées, sur un programme, « L’Avenir en Commun », défendu par Jean
Luc Mélenchon, et nous sommes portés par un mouvement citoyen de masse, qui rassemble
aujourd’hui plus de 280 000 personnes.
Tous les candidats aux législatives s’honoreraient à ne pas sombrer dans les travers politiciens
d’attaques personnelles et nauséabondes. Nous en avons tous assez.
Attachons-nous plutôt à répondre aux questions, aux besoins, aux attentes de nos concitoyens.
Appliquons-nous à les convaincre et à soumettre nos propositions à leur choix souverain.