Redémarrage post-crise : qu’apportent réellement les solutions sur le Cloud ?
La reprise de l’activité économique peut être accélérée par le recours aux nouvelles technologies, et en particulier par les solutions de Cloud computing – infrastructures, plateformes ou applications. Mais à quelles conditions et à quel prix ?
Le concept de Cloud computing – informatique dans le nuage – fait désormais partie du quotidien des responsables informatiques, mais aussi des utilisateurs que nous sommes, entichés d’applications dites « hébergées ». Pour preuve, le fait, par exemple, de charger la suite logicielle Office 365 (Word, Excel…) de Microsoft à partir de son navigateur Web, de sauvegarder les données d’un MacBook ou d’un iPhone sur l’Apple iCloud, de télécharger la visioconférence Zoom ou tout simplement d’imprimer des photos à distanceimplique de recourir aux services du Cloud.
En cette période de post-confinement, la relance indispensable de l’activité des entreprises peut tirer avantage des diverses solutions Cloud, à condition d’éviter certains écueils, comme une surfacturation, qui pourrait vite s’emballer, ou une dispersion des données. Les avantages majeurs sont une mise en œuvre très rapide, la possibilité d’accélérer ou ralentir ses développements, un paiement mensuel (ou parfois trimestriel) à la consommation, donc pas d’investissement préalable et une bonne adéquation entre l’attente des utilisateurs, des métiers et la qualité des services.
Trois formes de ressources Cloud
Au sein d’une organisation, rappelons que des ressources Cloud peuvent être utilisées sous trois principales formes : l’accès à des applications hébergées sur le Web – c’est le SaaS ou Software as a service – utilisables directement par les personnels, comme Salesforce pour la relation clients ou Workday pour les RH, ou tout logiciel ERP, de comptabilité, les applications métier, spécifiques ou non…