SETE - Droit de retrait des cheminots par Francois LIBERTI
Le premier ministre Édouard Philippe perd son sans froid , brandissant la menace, celui-ci feint…
Le premier ministre Édouard Philippe perd son sans froid , brandissant la menace, celui-ci feint d’ignorer l’inacceptable et inconcevable décision provoquée par la suppression des contrôleurs, laissant ainsi des trains circuler avec un conducteur seul à bord avec les passagers.
L’accident qui vient de se produire a révélé qu’une catastrophe a été évitée de justesse !
Honte au premier ministre qui n’assume pas ses responsabilités et couvre délibérément les mises en danger des passagers par la suppression des postes de contrôleur pour des raison de compétitivité à la veille de la mise en concurrence des transports ferroviaires.
Voilà ce que les cheminots ont dit au pays en exerçant leur droit de retrait.
Plus un train ne doit circuler sans la présence humaine et nécessaire pour garantir la sécurité du personnel et des usagers