Un reseau pour le congrés ... Agde .. par Marcel Peyronnet

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Essentiellement destinée à la politique locale, cette rubrique pourra exceptionnellement être réservée à la politique nationale si tant est qu’un lien direct avec les habitants du Pays Agathois existe.

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Un reseau pour le congrés … Agde .. par Marcel Peyronnet

Un régime personnel et autoritaire, tel est l’optique de Sarko.

Avec la modification de la constitution qu ‘il veut réaliser, il veut encore monarchiser le régime, par un régime présidentiel avec un pouvoir personnel accru.

Cette dérive totalitaire est possible de par le contenu de la constitution de la 5eme république.
Pour arriver à ses fins, Sarko a besoin des 3/5 des voix du congrès (députés + sénateurs), comme la droite ne possède pas cette majorité, il se tourne vers le PS et fait tourner certaines têtes de ce parti. L’élection du président de la république au suffrage universel, que l’on présentait comme une démarche démocratique, renfermait en fait les moyens indispensables à la personnalisation du régime. On ne vote pas pour un programme, mais pour un personnage ; et au 2eme tour pour celui ou celle qui semble le moins pire. Tout ce qu’il y a d’antidémocratique !

Dans le projet de société de notre parti, la démocratie doit être l’assise de toutes les réformes qu’il est indispensable de mener à bien. La démocratie dans la gestion des entreprises doit devenir réalité. Pour cela, les salariés doivent acquérir des droits nouveaux leur permettant d’intervenir dans la gestion.

La démocratie est ignorée, dans les plus hautes sphères dirigeantes de la société. La commission européenne, qui possède des pouvoirs démentiels, n’est pas élue : Ses membres sont désignés. La banque européenne est un blockhaus impénétrable.

Sa gestion est des plus opaque. C’est un cas de figure qui éclaire sur l’impérieuse nécessité de nouveaux pouvoirs aux salariés. Il faut rappeler que la banque centrale européenne a dû injecter 250 milliards d’euros dans la crise monétaire et bancaire, argent parti en fumée, dépense somptueuse, alors que l’on rogne sur tous les acquis sociaux.

Cette situation ne pose-t-elle pas le principe d’une redistribution des richesses plus favorable au travail, alors qu’elle a diminué de 10 % à 15 % ?

Pour « Un réseau pour le congrés » Agde

Marcel Peyronnet