Vive les Mercredi joyeux des habitants du centre ville. par Robert PRADES
Pour reprendre l’éditorial de la dernière lettre municipale intitulé «Vias a encore bougé » il…
Pour reprendre l’éditorial de la dernière lettre municipale intitulé «Vias a encore bougé » il faut croire que seule la circulation à Vias n’est pas bougée ! Elle stagne.
Heureux qui comme le Viassois rentre chez lui le Mercredi à midi ! 45 minutes pour atteindre mon quartier ce mercredi. Et quel quartier pour ceux qui connaissent ! (Leader Price, la rue du cimetière).
Bien sur qu’il faut que la saison se passe, bien sur qu’il faut accueillir nos quelques 50 000 touristes, bien sur qu’il faut que nos commerces travaillent, mais il faut surtout se donner les moyens de remplir et d’assumer de telles obligations.
Interdire un boulevard, l’artère principale de la ville, implique de la part de ceux qui mette un tel processus en place une réflexion sérieuse des règles de circulation, de fluidité, de sécurité et de créativité. Ce n’est plus 5000 habitants que doit gérer la municipalité mais bien 10 fois plus à cet instant.
La moindre des choses c’est d’avertir, de renseigner, de communiquer à nos estivants où ils sont, où ils vont…Je n’incrimine pas ici les forces de la police municipale qui, elles, appliquent les ordres qu’ont leur donne, mais bien les responsables municipaux chargés de la circulation.
Aucun sens de circulation adéquat mis en place, aucun agent municipal aux endroits stratégiques, (un autre aurait dit une véritable chienlit) ; avoir une véritable réflexion autre qu’électoraliste sur l’emplacement de ce marché en centre ville. Les arguments électoraux ne sont plus de mise. C’est de la sécurité, du bien vivre et des droits de chacun de ce dont il s’agit.
Alors si Vias doit « encore bouger » il faudrait vite, le faire bouger intelligemment et habilement du côté plan de circulation.
Robert Prades