BÉZIERS - L'ETBM REÇOIT 7 ECOLES TAURINES
BÉZIERS - L'ETBM REÇOIT 7 ÉCOLES TAURINES Samedi 23 avril, l'École Taurine Béziers Méditerranée…
BÉZIERS – L'ETBM REÇOIT 7 ÉCOLES TAURINES
Samedi 23 avril, l'École Taurine Béziers Méditerranée (ETBM) ouvrait matin et après-midi le ruedo des arènes de Béziers à sept autres écoles taurines de France et d'Espagne.C'est sous le soleil, avec hélas des moments venteux, qu'environ sept cents biterrois et autres ont pu découvrir un pan de la tauromachie : la novillade et de comparer les styles de différentes écoles.
Ce type de bonne initiative est malheureusement assez rare pour que nous félicitions l'équipe de l'ETBM. Le bétail venu de la ganaderia d'Olivier et Robert Margé était dans l'ensemble intéressant et a permis aux novilleros de montrer leur savoir faire et bien sûr, suivant leur niveau d'étude et d'âge le travail accompli et restant à parfaire… Et grâce à eux – et à leurs enseignants – les participants et spectateurs ont passé une bonne journée taurine.
11 heures : 3 NOVILLOS 3
Lucas Miñana (école de Béziers) dés le départ montre sa détermination, brinde son novillo à Didier Bresson – président de l'école- pinche et tue par une contraire. Salut au tiers.
Sergio Lopez (école de Cuenca) se mesure à un novillo difficile. Applaudissements.
Antonio Ganivet (école de Motril), combat le meilleur novillo du matin lui permettant de s'exprimer convenablement durant la faena. Une oreille à la seconde épée en avant.
15 heures : 6 NOVILLOS 6
Curro Linares (école de Castellon), se fait désarmer sa muletta quatre fois, une basse et cinq coups de vertugo.
Maxime Solera (école de Saragoza), combat acharné, varieté à la muleta, bonne espada, deux oreilles.
Carlos Olsina (école de Béziers), combat le novillo le plus imposant du jour et parfois réservé, bonne démonstration de muleta, épée bien placée et efficace, deux oreilles, vuelta du toro pas justifiée pour une partie des étagéres…
Baptiste Cissé (Adour Aficion), novillero accompli, jeux de capote à la mexicaine, de banderilles et muletta face à un bon toro (le meilleur ?) mort donnée au centre du ruedo, une seule oreille largement méritée (mauvaise puntilla)
El Luri (école de Navarre), toro parfois distrait, le jeune navarrais se donne à fond avec du tremendisme, trois pinchazos, net descabello…
Vincent Perez (école d'Arles), bonne faena se terminant al encuentro, une oreille.