AGDE - ZOOM sur AGDE au journal de TF1 .. dans le CANARD ENCHAINE et sur EUROPE 1 !
Vous pouvez retrouver dans la rubrique "LA PRESSE EN PARLE " d'HERAULT TRIBUNE les…
Vous pouvez retrouver dans la rubrique “LA PRESSE EN PARLE ” d'HERAULT TRIBUNE les évènements et les actualités concernant la vie locale ou régionale relayés par les médias locaux ou nationaux.
TF1
Ce Mercredi 27 janvier 2016 C'ets la situation économique d'Agde et son taux de chomage qui ont fait l'objet d'un coup de projecteur au Journal Télévisé de Jean-Pierre Pierre PERNAUT à 13 h sur TF1 . On y retrouve l'interview de quelques commercants agathois.
LE CANARD ENCHAINE
Les sympathisants de Gilles D'ETTORE pourront en effet y trouver une forme de consécration car les plus éminents hommes politiques sont flattés d’y retrouver un jour leur nom. Pour Gilles D’ETTORE ce Mercredi 27 Janvier 2016 est un jour de gloire. L’entrée dans le gotha mondain de ” l’homo politicus ” y est faite de belle manière : Associée au propos d’un candidat-président qui manifestement avait trouvé taquin de traiter son ami « ROSSIGNOL» de toutes sortes de noms d’oiseaux !
Que l’on se rassure, notre fougueux président candidat, plus colérique que méchant, a terminé son propos par une marque d’amitié républicaine ! ” Vous êtes mes amis quand même ! “
En tout état de cause, manifestement pour Nicolas SARKOZY… ” Les ” primaires ” sont lancées !
Des propos et des exlications de Stéphan ROSSIGNOL relayées ce matin par EUROPE 1 :
S'il y a bien une chose que Nicolas Sarkozy ne supporte pas en politique, c'est la traîtrise. Le président de Les Républicains a peut-être changé sur plein de sujets. Il est possible également qu'il regrette énormément de choses de sa présidence passée. Mais sur la traîtrise en particulier, l'ancien chef de l'État n'a pas bougé d'un iota.
En témoigne cet échange quelque peu vigoureux entre Nicolas Sarkozy et deux élus LR, le 20 janvier à Nîmes. Croisant la route de Stéphan Rossignol, maire de La Grande Motte, et de Gilles D'Ettore, maire d'Agde, après son meeting, le président de Les Républicains a vu rouge. Et s'est un peu lâché. Voici ce qu'il a déclaré selon des propos rapportés par Le Canard Enchaîné de ce mercredi 27 janvier :
Vous deux, il faut qu'on s'explique. Vous m'avez baisé aux régionales, petits merdeux. Moi on m'encule pas, hein ! Moi je me fais pas enculer, compris ?
Plusieurs sources confirment au Lab qu'un échange pour le moins virulent a eu lieu entre les trois hommes.
Stéphan Rossignol et Gilles D'Ettore voulaient absolument voir Nicolas Sarkozy car, n'étant plus à jour de cotisations, ils ne peuvent pas se présenter aux élections internes de Les Républicains. Ce qui les dérange, Stéphan Rossignol ambitionnant de prendre la tête de la fédération de l'Hérault.
Au Lab, Gilles D'Ettore ne confirme ni n'infirme la teneur des propos de Nicolas Sarkozy. Il dit néanmoins :
Ce n'était pas violent envers Stéphan Rossignol ou moi-même, c'était musclé, comme il peut y avoir des discussions musclées, une discussion d'hommes. Et quand une discussion est tendue, autant on a des langages publics, autant on peut aussi avoir des langages privés… Mais à aucun moment il n'a insulté qui que ce soit. Si ça avait été le cas, je lui aurais répondu.
Présent à Nîmes, Éric Ciotti, qui pourrait soutenir Nicolas Sarkozy lors de la primaire de la droite et du centre, dément le moindre accrochage. “Cela est totalement faux et inventé”, dit-il au Lab, jurant que l'échange entre les trois hommes a été “calme” et “apaisé”.
Contacté par le Lab, l'entourage de Nicolas Sarkozy n'a pas répondu à nos sollicitations.
Nicolas Sarkozy n'a semble-t-il pas apprécié que Stéphan Rossignol et Gilles D'Ettore soutiennent Dominique Reynié durant les régionales. L'ancien politologue n'était plus en odeur de sainteté chez Les Républicains après qu'il a déposé en préfecture une liste pas tout à fait conforme à celle décidée par la commission d'investiture de LR. Des colistiers prévus dans la liste validée par la CNI avaient été enlevés, comme Arnaud Julien, secrétaire départemental LR de l'Hérault.
Pour la petite histoire, selon Le Canard, après sa grosse colère, Nicolas Sarkozy s'est calmé et a confié aux deux maires :
Ça m'a fait du bien de vous le dire, vous êtes mes amis, quand même.
Une précision utile. Sur le coup, cela ne semblait pas aussi évident.