BEZIERS - HUIT RAISONS DE REFUSER LES MIGRANTS À BÉZIERS
1/ Béziers compte déjà deux centres d’accueil pour « réfugiés », l’un géré par…
1/ Béziers compte déjà deux centres d’accueil pour « réfugiés », l’un géré par la Cimade, l’autre présidé par le maire. Ils disposent de 130 places. L’État veut nous imposer 40 places supplémentaires qui seront gérées par la Cimade, une organisation pro-immigrés.
2/ Plus de 80% de ces migrants se voient refuser le statut de réfugié. Selon la loi, ils doivent être reconduits à la frontière. À Béziers, ces trois dernières années, le centre présidé par le maire a reçu 403 personnes. 350 n’ont pas obtenu ce fameux statut. Combien ont été reconduits à la frontière ? Zéro.
3/ Grâce à la circulaire Valls, ces faux « réfugiés », seront « régularisés » au bout de cinq ans. Et resteront à Béziers. Dans une ville où deux tiers des enfants des écoles publiques sont issus de l’immigration, le seuil de tolérance est largement dépassé !
4/ Ces 40 places supplémentaires devraient être installées rue d’Estienne d’Orves, en plein centre- ville ! Alors que nous faisons des efforts considérables pour changer l’image de notre cœur de ville, c'est un véritable coup de poignard dans le dos.
5/ Cette décision a été prise sans que jamais l’État et ses représentants n’en informent les autorités municipales. C’est un déni de démocratie.
6/ Nous proposons d’organiser un référendum sur cette arrivée de nouveaux migrants. Les Biterrois ont le droit de dire ce qu’ils pensent. Paris ne peut pas toujours tout imposer.
7/ À ceux qui nous font la morale, à ces élus qui nous montrent du doigt, une seule réponse : qu’ils accueillent donc ces « réfugiés ». Qu’ils donnent l’exemple.
8. D'après nos informations, il serait envisagé d'installer à Béziers un Centre d'Accueil et d'Orientation (CAO), pour recevoir d'autres migrants, venus notamment de Calais…
C’est pour toutes ces raisons que nous ne voulons pas de nouveaux « réfugiés », que nous estimons que nous comptons déjà assez de migrants dans notre ville. C’est le bon sens même. Interrogeons les Biterrois et laissons-les choisir. Voilà ce que vous voulons.