"Ensemble, tout devient possible, n'est-ce pas Docteur ?
Sarkozy contre "le capitalisme de la frivolité"
Nicolas Sarkozy s'est élevé jeudi soir contre "le capitalisme de la frivolité", soulignant à…
Nicolas Sarkozy s’est élevé jeudi soir contre “le capitalisme de la frivolité”, soulignant à l’adresse des Etats-Unis qu’on ne peut « durablement gagner de l’argent sur des dettes ». Il conclut lors de ce discours prononcé à l’occasion d’un dîner offert par le Lord Maire de Londres, Davis Lewis, au dernier jour de sa visite d’Etat au Royaume-Uni :
“Ce capitalisme-là, je n’en veux pas, parce que c’est le capitalisme de la frivolité, du mensonge et de l’absence de transparence”
Que chacun reconnaisse dans ces propos les spécialistes des « frivolités ». Visiblement le Président de la République parle aussi de ceux qu’il connaît bien dans son entourage politique.
Nicolas Sarkozy, dont tous les choix ne font pas l’unanimité des souhaits de la population, essaie néanmoins parfois d’être à la hauteur de sa mission, surtout dans son esprit d’OUVERTURE (ou son ouverture d’esprit, comme il vous plaira de l’interpréter).
Mon indépendance de tout parti m’autorise à dire OUVERTEMENT, en toute liberté et objectivité, quand c’est une bonne ou une mauvaise analyse.
Les Viassoises et les Viassois peuvent souscrire sans hésitation à ce refus présidentiel. Ils vont subir bientôt l’application pratique en « grand format » du bilan de la gestion « à l’américaine » de Michel St Blancat.
Ce dernier s’est acharné à confondre le proverbe « qui paie ses dettes s’enrichit » avec « qui fait des dettes s’enrichit ».
Aujourd’hui « les frivolités » vont peser très lourd sur notre développement, autant sinon plus que les longues années d’un passé très opaque.
Dommage que Vias ait tardé aussi longtemps à relever la tête et voir ses réalités droit dans les yeux !