Éric Pradalié, la poésie de la lumière
Né dans la capitale languedocienne dans les années soixante, le peintre Éric PRADALIÉ vit dans la région parisienne. C’est en amoureux de sa…
Né dans la capitale languedocienne dans les années soixante, le peintre Éric PRADALIÉ vit dans la région parisienne. C’est en amoureux de sa ville natale qu’on le découvre à la galerie Hélène-Trintignan, dans une série d’aquarelles et de peintures dédiées à Montpellier et ses environs.
Extrait de l’article de Virginie MOREAU publié dans son intégralité dans l’Hérault Juridique & Economique du jeudi 7 février 2013, n° 2928.
Éric PRADALIÉ explique vouer à Montpellier un attachement accentué par la distance géographique qui l’en sépare d’ordinaire. Il redécouvre, à chacun des séjours qu’il y effectue, son ambiance, ses lumières, ses bâtiments et ses hauts lieux. Durant l’été 2012, il s’est promené dans la ville avec son matériel à aquarelle à portée de main, s’arrêtant dans tel ou tel lieu pour en capter tantôt le calme, tantôt l’effervescence, et surtout les lumières. “ L’aquarelle me permet de saisir sur place, rapidement, les ambiances d’un endroit. Elle facilite l’immédiateté, la spontanéité ” indique-t-il. Il en résulte de belles aquarelles de lieux aussi divers que le Peyrou, les Trois Grâces, le théâtre, les Arceaux, les places, les cafés, tous nimbés des lumières esti vales… On notera que pour ses oeuvres en extérieur, Éric PRADALIÉ a opté pour l’aquarelle, au contraire de son frère, le peintre Thomas VERNY (régulièrement exposé par Hélène TRINTIGNAN), lequel préfère le pastel pour retranscrire les scènes prises sur le motif. (…)
Virginie MOREAU