HERAULT - REGION - Insécurité : Après les paroles, le Front National réclame des actes !
Insécurité : Après les paroles, le Front National réclame des actes ! …
Insécurité :
Après les paroles, le Front National réclame des actes !
Communiqué de presse de France JAMET
Membre du Bureau Politique du Front National
Secrétaire départementale FN de l’Hérault
Conseillère régionale
Le Front National ne cesse d’alerter les pouvoirs publics sur l’insécurité grandissante dont sont victimes les Français en général et les policiers en particulier. Le 29 août dernier, la fédération du Front National de l’Hérault déplorait, déjà, la poursuite de la longue série d’agressions dont les forces de l’ordre sont les cibles. Depuis, en deux mois, sept policiers montpelliérains ont encore été agressés.
Aujourd’hui, c’est une fois de plus à Montpellier que trois policiers viennent d’être attaqués violemment après un banal contrôle d’identité dans un quartier dit pudiquement « difficile » dans la novlang du politiquement correct, quartier dont la population est majoritairement issue de l’immigration dans la réalité. L’un des agents de l’Etat, victime d’une triple fracture au tibia, est frappé d’un arrêt de travail de quatre vingt dix jours.
France Jamet, membre du Bureau Politique du Front National et Secrétaire départementale du FN 34, apporte son soutien moral total et sincère à ce cadre de la Brigade anti-criminalité lynché et à ses collègues agressés. La présidente du groupe des élus du Front National à la Région tient également à remercier publiquement l’ensemble des policiers pour le travail ingrat et pénible mais ô combien primordial qu’ils effectuent chaque jour afin de protéger les Français malgré un contexte décourageant engendré par la caste UMPS qui ne les soutient pas.
Depuis dix ans, les ministres de l’Intérieur Sarkozy, de Villepin, François Baroin, Michèle Alliot-Marie, Hortefeux, Guéant, Valls, se succèdent. Des paroles mais pas d’actes.
Le Front National exige donc la mise en place d’une politique de fermeté et de tolérance zéro en matière d’insécurité, de soutien sans faille aux policiers et aux gendarmes dans l’exercice de leur fonction, la répression sévère des agressions à l’égard des forces de l’ordre et des pompiers, la reconstitution immédiate des effectifs de Police et de Gendarmerie supprimés depuis 2005 par Sarkozy et la création de 40.000 nouvelles places de prison.