HERAULT - Une première en France : Un sénateur et son cabinet parlementaire engagés RSE
« Stop au politiquement correct et aux sujets tabous : absentéisme dans les hémicycles,…
« Stop au politiquement correct et aux sujets tabous : absentéisme dans les hémicycles, non cumul des mandats, non cumul des mandats dans le temps, statut de l’élu, IRFM…
Les citoyens sont écœurés par les affaires qui stigmatisent le monde politique et nous sommes arrivés au bout d’un système sclérosé qui creuse le décalage entre les citoyens et ses gouvernants…
Pourtant, la majorité des élus est honnête et ne travaille que dans l’intérêt général. Pourtant, dans les territoires, à fortiori ruraux, les maires et leur équipe municipale ne comptent pas leurs heures pour trouver des solutions, des idées et porter des projets pour les populations.
Alors que faire pour essayer de regagner la confiance des citoyens ? Tous ces français qui bâillonnent leur suffrage, pour prouver quoi ? Qu’ils ne croient plus en nous, nous les élus de la République
J’ai voulu agir. A ma manière : celle d’un chef d’entreprise puisque je suis viticulteur en activité à Servian.
J’ai décidé de m’engager dans une démarche d’évaluation en Responsabilité Sociétale des Entreprises avec un organisme tiers indépendant AFNOR Certification, pour affirmer mes choix et assumer mes actes face à la société.
Surtout pas pour être donneur de leçon. Mais pour initier en tant que parlementaire un mouvement dont l’exemple est porté en France par des TPE, des PME mais aussi désormais par des filières et des représentants professionnels.
Alors pourquoi pas par des élus ?
La défiance des citoyens est telle que je pense que nous devons apporter désormais des preuves de notre éthique dans l’exercice de nos mandats.
Par nos actes mais aussi par une transparence de nos façons de travailler.
Le 15 novembre à 19 heures au Salons des Tapisseries à la Présidence du Sénat, Franck LEBEUGLE, directeur général d’AFNOR Certification présentera les résultats de l’évaluation RSE (basée sur la méthode AFAQ 26 000) de mon cabinet parlementaire : nos méthodes de concertation, les relations avec les parties prenantes (élus, chefs d’entreprise, associations, citoyens) …
Plus qu’une note issue de cette évaluation, un premier pas.
Car l’important est que le message passe au Sénat, puis à l’Assemblée… Que des dizaines de parlementaire s’engagent dans une évaluation RSE et montrent ainsi aux citoyens qu’ils sont prêts à passer au « scanner » et à revoir la copie le cas échéant pour coller à leurs aspirations. La société change et nous devons nous adapter.
Pour que demain, cette RSE se transforme en RSÉ (Responsabilité Sociétale des Élus) au sein des territoires dans les Communes, les Intercommunalités, les Départements, les Régions… ».