La ville de Bessan à nouveau premier prix des villages fleuris
La ville de Bessan à nouveau premier prix des villages fleuris Pour la deuxième…
La ville de Bessan à nouveau premier prix des villages fleuris
Pour la deuxième année consécutive, la ville de Bessan a remporté le premier prix du concours départemental des villes et villages fleuris organisé par le conseil général de l’Hérault, dans la catégorie des communes de 1.001 à 5.000 habitants. La remise de ce prix s’est tenu en mairie en présence de Robert Raluy, maire, des élus municipaux, de Véronique Poirier, chargée de projet « développement durable et cadre de vie » au conseil général, et des équipes des espaces verts de la communauté d’agglomération aux côtés de leurs responsables de secteur, Gérard Azéma et Gilles Blaya.
En effet, sous la houlette de Michel Prévost, adjoint au maire, la municipalité a souhaité vivement remercier et féliciter les agents du service des espaces verts de la communauté d’agglomération qui œuvrent au quotidien pour entretenir les nombreux points de verdure de la cité bessanaise. Dans les différentes interventions, chacun a pu souligner la qualité de leur travail visant à améliorer le cadre et la qualité de vie des bessanais.
D’ailleurs, Véronique Poirier a rappelé que le concours départemental n’était pas uniquement un concours de fleurissement. Bien qu’attachés au critère « végétal », les villes et villages candidats s’engagent dans une démarche de développement durable. L’aménagement des espaces publics, la gestion raisonnée de l’eau et des pesticides, les maillages de réseaux de « liaisons douces » et leur motivation à améliorer leur cadre de vie à l’attention des habitants et des touristes, sont devenus de véritables critères de sélection.
A l’issue, le bon de 800 € attribué à la commune par le département a été remis à l’équipe des agents intercommunaux, pour l’achat de plantes en vue de l’amélioration des espaces existants. C’est autour du verre de l’amitié que tous ont discuté des efforts à poursuivre dans l’embellissement du village, Véronique Poirier indiquant aux élus que l’horizon d’une première « fleur » était désormais possible.