OCCITANIE - Communiqués de FAFPT et FADPM en soutien aux collègues de la police nationale
Les policiers municipaux de la FADPM 34-30 solidaires du mouvement de la Police NationaleRéunis…
Les policiers municipaux de la FADPM 34-30 solidaires du mouvement de la Police Nationale
Réunis en Conseil d’Administration hier à Lunel, sur propositions du Secrétaire Général Jean-Michel WEISS (par ailleurs Secrétaire National de la FA-FPT police municipale), les dirigeants de la FADPM 34-30 témoignent leur totale solidarité à l’ensemble des fonctionnaires de la police nationale.
Les policiers municipaux, mais aussi les gardes-champêtres et les agents de surveillance de la voie publique partagent les difficultés rencontrées par les « collègues de la police nationale ».
Comment ne pas comprendre le « cri d’alarme » ? Comment accepter plus longtemps « d’être agressés, d’être victimes de violences, d’être attaqués sauvagement … » ? Comment ne pas être en colère devant « l’absence de réponse pénale à la hauteur » lorsque les agents sont victimes de tels faits ?
Les fonctionnaires territoriaux que nous représentons ne peuvent être que SOLIDAIRES, car il s’agit bien de l’atteinte physique de représentant(e)s des forces de l’ordre, garant(e)s du respect des lois de notre République.
Aussi, au-delà de toute récupération syndicale ou politique, nous témoignons notre soutien et notre solidarité aux femmes et aux hommes de la police nationale qui expriment aujourd’hui leur « ras le bol » à travers la France.
C’est parce que nous partageons le même sens du service public que notre soutien s’affranchit de nos différences de statuts.
Si la FADPM 34-30 est SOLIDAIRE, elle n’appelle toutefois pas les collègues à participer directement aux mouvements et laisse le libre choix individuel à chacun de s’engager.
LES POLICIERS MUNICIPAUX DE LA FA-FPT SOLIDAIRES
DU MOUVEMENT DE LA POLICE NATIONALE
Les Secrétaires nationaux de la FA-FPT Police Municipale témoignent leur totale solidarité à l’ensemble des fonctionnaires de la police nationale.
Les policiers municipaux, mais aussi les gardes-champêtres et les agents de surveillance de la voie publique partagent les difficultés rencontrées par les « collègues de la police nationale ».
Comment ne pas comprendre le «cri d’alarme»? Comment accepter plus longtemps «d’être agressés, d’être victimes de violences, d’être attaqués sauvagement … » ? Comment ne pas être en colère devant « l’absence de réponse pénale à la hauteur » lorsque les agents sont victimes de tels faits ?
Les fonctionnaires territoriaux que nous représentons ne peuvent être que SOLIDAIRES, car il s’agit bien de l’atteinte physique de représentant(e)s des forces de l’ordre, garant(e)s du respect des lois de notre République.
Aussi, au-delà de toute récupération syndicale ou politique, nous témoignons notre soutien et notre solidarité aux femmes et aux hommes de la police nationale qui expriment aujourd’hui leur « ras le bol » à travers la France.
C’est parce que nous partageons le même sens du service public que notre soutien s’affranchit de nos différences de statuts.
Si la FA-FPT Police Municipale est SOLIDAIRE, elle n’appelle toutefois pas les collègues à participer directement aux mouvements et laisse le libre choix individuel à chacun de s’engager.