Quand politique ne rime plus avec éthique .. ou la mémoire courte !
Dans une précédente chronique sur Hérault-Tribune je pardonne à l'ex-candidat à l'élection municipale de…
Dans une précédente chronique sur Hérault-Tribune je pardonne à l'ex-candidat à l'élection municipale de VIAS ses méthodes diffamatoires à mon encontre que je considère comme une regrettable erreur de jugement sous influence.
Mais comment ne pas être troublé quand, citoyen, victime de cette diffamation publique, votre attention se porte sur un article du quotidien régional du vendredi 21 mars 2008 dans lequel vous constatez que votre diffamateur n'hésite pas à condamner cette méthode tristement falote lors de rituels sermons hautement œcuméniques afin de justifier une quelconque défense dans une quelconque affaire.
Drôle « d'homéliste » que celui qui dénonce dans la presse régionale un document erroné, mensonger et diffamatoire mais qui néglige par la même occasion d'informer la dite presse de son propre tract diffamatoire lors de la campagne électorale à l'encontre d'un citoyen de sa commune.
A VIAS, la définition de la diffamation ne s'appliquerait-elle qu'au sans-grade, citoyen plus proche du bénévolat que de la chasse aux honneurs ?
Je suis prêt à prendre des cours car il me manque là certainement une connaissance approfondie des arcanes de la politique locale.