Faits divers

Torche à Plasma .. La Cabale au Canada !

Alors même que Alain Vogel Singer et Gilles D'ettore ont lancé un appel d'offres…

Alors même que Alain Vogel Singer et Gilles D’ettore ont lancé un appel d’offres en vue d’une étude d’installation d’usine d’incinération sous procédé ” Torche à Plasma “ dans notre accueillante région touristique, les quelques rares pays ” privilégiés “ en étant déjà doté semblent  encore faire la fine bouche.

Radio Canada indique toujours que le procédé que l’on nous montre ici en exemple est à l’état expérimental et ne fonctionne pas à pleine capacité, mais la nouveauté c’est qu’un second projet vient d’être abandonné sous la pression de citoyens canadiens craintifs des émissions polluantes qui pourraient nuire à leur environnement. En quelque sorte … C’est la cabale au Canada !

Une anecdote croustillante: le début du scandale est né du fait que c’était la Société Plasco qui auarit ( selon Radio Canada ) envoyé à ses frais les élus visiter l’usine modéle d’Ottawa.

Nous n’affirmons rien, mais vu la quantité d’élus locaux étant partis simultannément de tout le département pour visiter en rangs serrés le prototype en question, il est légitime de se poser , de leur poser la question en leur offrant ces colonnes pour y répondre : Est-ce nos collectivités respectives qui ont financés ce voyage ou est-ce une société susceptible de répondre prochainement à un appel d’offre local ?
Encore une fois, ce n’est ici l’occasion que de lever un coin du voile, et nous saurons relayer l’information si c’est bien les collectivités qui ont financé leur propre voyage.

Mais à ce compte là, il serait légitime qu’ils  aillent également voir de part le monde les autres procédés.  Au Japon par exemple , où plus simplement qu’ils aillent visiter les petites usines de recyclages local de déchets comme les y invitent de nombreuses associations environnementales.

Ci dessous le le lien paru sur Radio Canada

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Économie

Plasco abandonne son projet à Port Moody

 
Une compagnie d’Ottawa, Plasco, abandonne son projet d’usine de transformation de déchets en énergie à Port Moody, en Colombie-Britannique. L’entreprise plie devant les pressions de citoyens qui craignent les émissions polluantes.

Les opposants soutiennent aussi que cette usine aurait un effet pervers sur les efforts de recyclage et de réduction des déchets.

Plasco a toutefois conclu un contrat avec la Ville de Red Deer, en Alberta, pour convertir 300 tonnes de déchets par jour en électricité. Il s’agit du premier projet commercial de Plasco.

À Ottawa, l’usine expérimentale de Plasco ne fonctionne pas à pleine capacité.

Controverse

En septembre dernier, la visite à Port Moody d’une conseillère municipale et d’un haut fonctionnaire d’Ottawa pour faire la promotion de l’usine de transformation de déchets en énergie avait soulevé la controverse.

La conseillère Jan Harder et le directeur municipal adjoint Richard Hewitt avaient dû répondre aux questions des citoyens de Port Moody. Ils avaient dû admettre que c’est la compagnie Plasco qui les avait envoyés dans cette province à ses frais pour vanter les mérites de l’usine modèle de production d’électricité à partir de déchets, au dépotoir d’Ottawa.

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