VIAS - LE REDRESSEMENT DE NOTRE PAYS NE PEUT PLUS ATTENDRE, IL Y A URGENCE ! par Jordan DARTIER
Le bilan de François Hollande et de ses gouvernements successifs est un échec cuisant.…
Le bilan de François Hollande et de ses gouvernements successifs est un échec cuisant. Ceux qui le nient encore sont soit socialistes soit malheureusement… aveugle et sourd.
La France va très mal.
La dette publique a augmenté de plusieurs centaines de milliards d’euros. Le chômage a explosé. Les collectivités locales ont été mises – malgré elles – à la diète forcée du fait de la baisse – sans précédent – de leurs dotations de fonctionnement, les contraignant – pour certaines d’entre elles – a augmenté leurs impôts locaux. L’investissement public a chuté de 22 milliards d’euros depuis 2014. Les toutes petites entreprises (TPE) et les petites et moyennes entreprises (PME) sont assommées de charges, elles ne peuvent pas embaucher et ont une peur bleue des prud’hommes. Le terrorisme, comme jamais auparavant, a frappé – à de trop nombreuses reprises – notre pays aux cours de ces dernières années. Notre nation traverse une crise sociétale profonde, le communautarisme s’exacerbe, l’islam radical gangrène notre République. Les délinquants, qui empoisonnent le quotidien des Françaises et des Français, ne sont – à l’évidence – pas sévèrement sanctionnés par les juridictions pénales. Combien de délinquants défavorablement connus des prétoires ressortent libres des Tribunaux ? La Justice n’est pas assez dure avec ces délinquants. Les politiques pénales – sous l’égide de Madame TAUBIRA – ont été dévoyées au profit du « tout sauf carcéral ». Les policiers et gendarmes sont exténués. 16 000 d’entre eux ont été blessés l’an dernier au cours de leurs multiples opérations de maintien de l’ordre.
Bref, la France va très mal. La France est en panne.
Il est urgent de la remettre sur les rails du progrès.
Comme le disait un grand Président de la République Française – que malheureusement nous ne retrouverons pas de sitôt – « il faut le progrès, pas la pagaille » Or, aujourd’hui en France, c’est plus la pagaille que le progrès.
Le temps du compromis et de la compromission est révolu.
A moins de trois semaines du premier tour de l’élection présidentielle, il est urgent d’élire un Chef d’État et une majorité parlementaire qui redresseront – enfin – notre pays par de vraies réformes et non pas à coup de réformettes qui ne veulent fâcher personne mais qui, au final, ne changent rien et ne font que rajouter de la norme à la norme.
Il faut agir, il faut avoir le courage de réformer et même si cela est difficile.
François Fillon est le seul à porter un programme de réformes dont notre pays a tant besoin.
Parmi les – trop nombreux – prétendants à la fonction suprême, un seul a les épaules pour endosser le « costume » présidentiel.
Malgré l’acharnement politico-médiatique piloté par un « cabinet noir élyséen » – si on en croit les bonnes pages du nouveau best seller « Bienvenu Place Beauvau, Police : les secrets inavouables d’un quinquennat » – malgré les violations manifestes du secret de l’instruction par une communication de procès verbaux d’enquête à des journalistes, malgré la volonté politico-médiatique de jeter un homme et son honneur à la vindicte populaire, qui condamnerait un homme sans qu’il ait été jugé par un Tribunal impartial, François Fillon reste le seul a porter un programme de réformes dont notre pays a besoin.
Emmanuel Macron est le candidat socialiste.
Face à lui, l’héritier de François Hollande, le candidat des puissances financières, aux nombreux soutiens socialistes (et notamment celui de l’ancien Premier Ministre Manuel VALLS), le Monsieur « oui-oui », celui qui veut faire plaisir à tout le monde mais qui, au final, ne fera plaisir à personne, le candidat des médias et du microcosme parisien, celui dont on veut nous faire oublier qu’il a été tout de même le Ministre de l’Economie de Monsieur Hollande et qu’il est donc comptable du bilan désastreux du quinquennat qui s’achève… Monsieur Macron.
Avec Monsieur Macron, le changement se sera donc pour plus tard.
Aucune vraie réforme. Du saupoudrage pour ne froisser personne. Bref de la mollesse comme avec François Hollande.
Face à lui également, le candidat du PS qui, au final, n’est pas soutenu par les ténors de son propre parti ; ces derniers tentant de sauver leur siège « en marchant » vers Macron.
Et, les candidats des extrêmes, de la gouaille, aux propos populistes mais aux propositions éminemment irréalistes et irréalisables, candidats de la haine ou du repli sur soi. Ces candidats ne portent aucune solution crédible. Et pour cause, ils n’existent que parce que le pays va mal socialement et économiquement.
Réglons une bonne fois pour toute, avec de profondes réformes, le problème de l’emploi, du pouvoir d’achat et du logement, et nous renverrons les partis extrêmes dans leurs petits foyers.
François Fillon est le seul candidat dont le programme est le plus sérieux et le plus abouti pour réformer notre pays.
Son programme est clair :
- réduire les charges des entreprises pour relancer l’emploi et redonner du pouvoir d’achat aux salariés,
- mettre fin aux 35 heures et revenir aux 39 heures,
- reculer l’âge de la retraite à 65 ans et unifier les régimes de retraite pour maintenir le pouvoir d’achat des retraités,
- aligner le régime fiscal des commerçants, artisans et indépendants sur celui des auto-entrepreneurs,
- fusionner tous les aides sociales en une allocation unique,
- en finir avec la bureaucratie et la surproduction des normes,
- créer 16 000 places de prison pour que les condamnations soient exécutées,
- réduire l’immigration à son strict minimum en imposant des quotas et ne verser des prestations qu’aux personnes en situation régulière depuis au moins 2 ans,
- rétablir l’universalité des allocations familiales pour soutenir toutes les familles,
- réserver l’adoption plénière aux couples hétérosexuels, limiter la GPA et interdire la PMA.
Pour toutes ces raisons, vous l’avez compris, je voterai François Fillon le 23 avril prochain.
Je n’ai pas pour habitude ni pour caractère de changer d’avis comme de chemise ou encore d’adapter mon discours en fonction du sens du vent.
Malgré la tempête, je suis et resterai fidèle à François Fillon.
Tels sont mes principes.
Telle est ma ligne de conduite.