AGDE - Réponse ouverte à Henry SAUCERAUTTE de François AMOROS
Cette rubrique Libre Expression est la vôtre - N'hésitez pas à apporter vos contributions Une…
Cette rubrique Libre Expression est la vôtre – N’hésitez pas à apporter vos contributions
Une seule obligation vos articles doivent êtres signés, argumentés et doivent concerner le pays Agathois.
Vous pouvez réagir en bas d’article ou écrire aux participants en cliquant sur leur nom
Réponse ouverte à Henry SAUCERAUTTE de François AMOROS
Monsieur SAUCEROTTE, votre lettre me rappelle celles que s’écrivaient les opposants à la politique locale du temps de Mr PASSERIEUX par l’Agathois interposé, auquel a mis fin son directeur.
Un point nous rapproche, c’est le partage des idées du FN sur les sujets de société, voir monétaires et financiers.
Notre différence, c’est que moi, je me suis engagé pour défendre ces idées qui finalement nous rapprochent.
Je suis fort aise d’apprendre que votre famille compte de personnes portant le nom d’AMOROS, nom que je considère comme noble. Et rassurez vous, si ce nom devait être terni comme vous le dîtes, cela ne sera pas de mon chef. Ce serait d’ailleurs une insulte que je ferai aux miens qui se sont donnés pour que notre pays demeure libre, liberté aujourd’hui bien menacée, et qui ont été remerciés par un abandon vulgaire (à72%). N’on parlant plus.
Quant au prénom de François, il signifie : franc, droit et libre.
A la lecture de votre lettre, j’ai l’impression qu’il s’agit plutôt d’un petit appel du pied à Monsieur D’ETTORE, que vous voulez mieux seconder par vos compétences. Ces dernières ne s’apprécient toujours qu’après le mandat et jamais avant. La preuve, c’est que nous changeons souvent de Maire. D’ailleurs, s’il suffisait d’être ingénieur, médecin, directeur, ou autre titre (dont les cimetières en sont pleins), pour bien gérer une ville au bénéfice de tous, cela se saurait.
Puisque vous vous intéressez à ma personne pour le nom que je porte, sachez que je demeure humblement au 11 rue de la Rivière, que mon téléphone est sur l’annuaire, et que j’aurai grand plaisir à faire plus ample connaissance, sans en laisser le soin au hasard qui tarde.
N’étant pas un plumitif, ne me répondez pas, je réserve mon encre pour des sujets plus importants.
Veuillez, Monsieur SAUCEROTTE, accepter mes respectueuses salutations.