BEZIERS - Deux soirées programmées à La Cimade - Rivesaltes fictions itinérantes
La tragédie qui a frappée au coeur de Paris nous bouleverse et nous touche…
La tragédie qui a frappée au coeur de Paris nous bouleverse et nous touche profondémment. Ce visage odieux de la violence visait la vie même au sein des lieux ouverts de sociabilité et de fraternité.
Le festival migrant'scène de la Cimade, temps d'ouverture et de dialogue vient d'être lancé dans plus de 45 villes en France sur le thème des réfugiés.
Deux soirées sont programmées à la Cimade 14 rue de la rotonde Béziers
Dans la gravité de ce moment ou nous devons faire preuve de courage et d'espérance qu'elles soient l'occasion de rassemblement et de ressourcement.
– Vendredi 20 novembre 20h “Rivesaltes fictions itinérantes”
de Vincent Bady – compagnie Les trois-huit
Dans les décombres actuelles du camp (inauguration du mémorial qui a eu lieu en octobre) le spectacle cherche à faire glisser les unes sur les autres les images du passé et du présent afin de questionner nos représentations d’un camp comme celui de Rivesaltes qui a perduré jusqu’à récemment
– Vendredi 27 novembre 20h “Depuis que je suis né”
documentaire de Laura DELLE PIANE + échanges autour d'un buffet convivial (chacun-e- apportant une de ses spécialités préférées à partager)
A travers le regard et les paroles de Tamer, jeune palestinien de 11 ans, vivant avec sa famille dans le camp, on saisit ce que peut vouloir dire le fait d’être « réfugié palestinien ». Très beau film instructif et plein de poésie.
EXPOSITION: “LA NAKBA” qui restitue le contexte historique de ce drame interminable
Depuis Que Je Suis Né
film – 54 min – de Laura Delle Piane
Mention spéciale au Festival International du Film Politique 2014 (Argentine)
camp de réfugiés de Dheisheh, Cisjordanie
Vendredi 27 novembre 2015
la Cimade 14 rue de la rotonde Béziers
projection suivi d'un échange + buffet convivial
en partenariat avec l'association France Palestine Solidarité
A travers le regard et les paroles de Tamer, jeune palestinien de 11 ans, vivant avec sa famille dans le camp, on saisit ce que peut vouloir dire le fait d’être « réfugié palestinien ».