CAP D'AGDE - SAINT MALO - Olivier WATINE, un pionnier du Cap d'Agde s'en est encore allé.
Olivier WATINE, un pionnier du Cap d'Agde s'en est allé. Rien ne le prédestinait à…
Olivier WATINE, un pionnier du Cap d'Agde s'en est allé.
Rien ne le prédestinait à demeurer au Cap lorsqu'en 1981 ce directeur des ventes d'un fabriquant de meubles rencontre les aménageurs et les promoteurs de la station en pleine croissance. Avec son épouse Martine égérie de RADIO CAP D'AGDE ils poseront leurs valises en 198.
En 1981 il fut été le premier directeur du Palais des congrès du Cap d'Agde et était également directeur adjoint de l'office de tourisme aux côtés de Gérard DENESTEBE.
En 1987 après son départ du Cap d'Agde il prend la la tête du Palais du Grand large en 1987 à SAINT MALO. Un Palais des congrès qui besoin de retrouver un nouveau souffle. Au départ, le chantier est de taille mais olivier lui redonne vie et remet le navire à flot pour en faire un outil économique florissant pour la région.
Dès 1990, la coque est redevenue étanche pour se lancer dans la course aux congrès. Aujourd'hui, le Palais du grand large, c'est entre 130 à 160 manifestations par an, soit 120 000 personnes et 42 millions d'euros de retombées pour l'économie locale.
En 2009 olivier a la douleur de perdre son épouse d'un cancer fulgurant des poumons. Elle était âgée de 61 ans. Martine avait été négociatrice immobilière à la SOPRA, l'un des deux plus importants promoteurs du Cap d'Agde. Parallèlement elle oeuvra à Radio Cap d'Agde.
En 2013 Olivier pars en retraite et débute une nouvelle vie professionnelle en créant une petite société de consulting, spécialisé dans les congrès et séminaires. Il partage alors son temps entre la France et le Maroc. .
La famille Watine n'avait jamais rompu ses liens d'amitié avec certains capagathois connus dont Messieurs et Mesdames Grison, Gindraud, Arcens et Anne Marie DENESTEBE.
HERAULT TRIBUNE s'associe à la douleur de ses deux enfants Alix et Thomas en leur adressant au nom de ses nombreux amis Capagathois leurs plus sincères et plus attristées condoléances
En 1981 il fût été !!!!!! Puis plus loin : un palais des Congrès qui besoin (là on oublie le verbe!). Relisez vous SVP ! Même si c’est par internet c’est de la presse écrite ! Pitié
Gérard Denestebe tout comme Olivier seraient consternés.