Clermont-l’Hérault : le nouvel élan de la ZAE de la Salamane
Mercredi 22 septembre, à 8h, la ZAE de la Salamane a accueilli sa première rencontre interprofessionnelle en présence de Claude Revel, président de la Communauté de communes du Clermontais, et Olivier Brun, vice-président en charge du développement économique.
Organisé dans les locaux de la société “Couleurs de Tollens”, l’événement a permis de revenir sur les avancées et les objectifs de la zone, tout en insufflant une dynamique de réseau entre les acteurs économiques du territoire, le tissu associatif local et les élus.
La nouvelle vie de la ZAE de la Salamane
Créée en 2011, cette zone artisanale et industrielle s’étend sur 70 hectares. Dix ans après son lancement, elle prend aujourd’hui une toute autre dimension, motivée par les nouveaux mandats des responsables locaux et l’essor de l’attractivité économique du territoire.
“On peut se féliciter car on a changé notre politique d’installation, explique Claude Revel, le président de la communauté de communes du Clermontais. Le souhait est d’avoir des entreprises qui se construisent et non des investisseurs, il faut que cette zone vive”.
Pour arriver à cet objectif, les entreprises qui veulent s’installer dans la zone sont choisies sur dossier. Elles ont ensuite 14 mois pour démarrer les travaux. “C’est important pour nous qu’elles s’installent rapidement. Plus tôt les entreprises sont installées, plus tôt nous terminerons”, développe-t-il. À ce jour, 21 sociétés sont installées et 11 entreprises supplémentaires sont en cours d’installation.
Créer un réseau dynamique
La présentation de la rentrée économique de la ZAE de la Salamane portait un second objectif : celui de créer du lien entre les entreprises de la zone. “Il est normal que les entreprises se rencontrent, explique le président de la communauté de communes. Notre travail est d’accompagner l’installation mais aussi de permettre aux entreprises de se rencontrer”.
Les élus espèrent pouvoir reproduire ce genre de rendez-vous “au moins une fois par an” afin d’encourager le dialogue sur les problèmes et la recherche de solutions.