HERAULT - Les organisations patronales représentatives demandent la réouverture des commerces le 27 novembre
La CPME Hérault, le Medef Montpellier Sète Centre Hérault, le Medef Béziers Littoral Ouest…
La CPME Hérault, le Medef Montpellier Sète Centre Hérault, le Medef Béziers Littoral Ouest Hérault et l'U2P Hérault “conscients de l’étendue de la deuxième vague de la pandémie” interpellent le gouvernement et son Premier ministre, Jean Castex.
« Ne privez pas les commerçants d’un week-end complet un mois avant les fêtes. Sauvons nos entreprises et leurs emplois ! » Tel est le mot d’ordre des organisations patronales héraultaises, qui demandent, dans un communiqué commun, la réouverture de tous les commerces, restaurants et bars dans les meilleurs délais et au plus tard le 27 novembre prochain.
Réouverture dès le 27 novembre et tous les week-ends
Dans leur missive, ils indiquent : « soutenir nos instances nationales respectives pour demander, dans le respect de règles sanitaires strictes définies ensemble » :
– Une réouverture de tous les commerces, restaurants et bars dès le vendredi 27 novembre,
– Une ouverture de tous les commerces tous les week-end (samedi et dimanche) jusqu’à Noël avec des plages horaires plus étendues.
En capacité de rouvrir sous 24h
Malgré les tristes circonstances, la détermination n’exclut pas l’humour : « Le gouvernement a pu faire fermer les commerces et restaurants en 24h dès jeudi soir, lors des dernières décisions, nous sommes sûrs que les commerçants seront en capacité de rouvrir en 24h également un vendredi matin. »
Au-delà de situations économiques critique, et de l’inquiétude de l’état de santé psychologique des commerçants impactés, entre angoisse, colère, désespoir et manque de projection et de confiance en l’avenir, le collectif veut interpeller le Gouvernement et lui demande de faire
preuve de discernement auprès des commerces, restaurants et bars notamment : « Comme vous le savez, un grand nombre d’entre eux effectuent une grosse partie de leur chiffre d’affaires en cette période de fin d’année. Les entrepreneurs ne souhaitent pas vivre de subventions ou d’aides mais de leur activité et de leur travail. » concluent-ils.