Louis Paul Delpech - Fidèle à l'idéal républicain - Agde - Sète - Frontignan
Fidèle à l'idéal républicain, à l'unité de la Nation et de ses valeurs, je…
Fidèle à l’idéal républicain, à l’unité de la Nation et de ses valeurs, je continue de porter dans cette campagne l’espoir des citoyens pour une France retrouvée dans une Europe des solidarités. Je me défie, comme beaucoup de français, de la tendance fâcheuse des pouvoirs successifs, depuis de nombreuses années à transférer la résolution de nos problèmes quotidiens d’une part devant des instances lointaines et irresponsables et d’autre part devant les collectivités locales intermédiaires. Ainsi des lois de la république dont 80% des textes sont dictés par la commission de Bruxelles et des responsabilités autrefois assumées par l’Etat désormais ventilées vers les Régions, les départements et les communes.
Que l’on me comprenne bien. Il est des domaines, la protection de l’environnement par exemple, où les frontières d’Etats ne protègent en rien des erreurs humaines. L’Europe, voire le Monde, a l’obligation de s’approprier la gestion des difficultés communes et d’y apporter des réponses globales et des projets de solutions, charge aux Etats et à leurs instances représentatives, y compris locales, de s’y adapter.
Il est d’autres domaines, l’école, la santé, la sécurité par exemple, qui mettent en danger l’unité de la Nation si on les transfère au niveau local. Quelles différences de fond entre un Breton et un Niçois, un Ch’ti et un languedocien ? Pour ma part et pour la république, il n’y en a aucune et il ne doit pas y en avoir dans le futur. Ils sont citoyens d’une même Nation et ont à ce titre les mêmes obligations et les mêmes droits. Dans les domaines fondamentaux de la vie, ils bénéficient des mêmes « tarifs », si j’ose dire !
Que localement des initiatives soient mises en place pour sauvegarder des us et coutumes que la république a le devoir de protéger, que suivant les mentalités les solutions appliquées diffèrent dans la forme, soit ! Mais la ligne directrice, le fond des questions se doivent d’être initiés par l’Etat, donc par les représentants du peuple souverain, élus au suffrage universel. La loi ne souffrirait pas d’être régionalisée sans menacer gravement nos institutions.
Ce qui n’enlève rien non plus aux initiatives et créations locales porteuses de formidables richessesdont les confrontations au niveau national ne peuvent qu’enrichir le processus.
Chaque française, chaque français doit peser la signification et la portée de ces dérives. Ils se sont exprimés au moment du référendum sur le projet de Constitution Européenne. Personne ne doit violer cette volonté. Les question sont finalement simples :
Voulons nous OUI ou NON que la République Française existe et se charge de la destinée de son peuple ?
Voulons nous OUI ou NON que la France partage avec ses voisins européens une communauté d’Etats souverains, libre d’associations bi ou multilatérales au gré des intérêts du moment ?
Voulons-nous une France rayonnante et exemplaire dans le Monde à même de pacifier les tensions actuelles, sans faiblesse envers les porteurs de dérives meurtrières dont les peuples sont les victimes ?
Si vous répondez OUI à ces questions, vous porterez sur les bancs de l’Assemblée Nationale, les représentants d’un groupe politique qui n’a jamais varié dans ses intentions. J’ai choisi de mener ce combat dans ce parti parce qu’il est le seul à dire franchement les enjeux et à secouer l’oligarchie en place depuis longtemps, peut-être trop longtemps. A ce titre d’ailleurs, je suis pour la limitation des mandats exécutifs en nombre et en durée.
Le 10 Mai en attendant le deuxième tour, votre expression aura valeur de confiance.
Louis-Paul DELPECH,
Candidat du Mouvement Républicain et Citoyen
7ème circonscription de l’Hérault
Qui est-ce ? – Fiche TrominosCap : https://www.herault-tribune.com/?p=p04&action=view&Tr_Id=114