HERAULT - La qualité de l’eau de notre méditerranée est loin d’être « En Marche »
J’ai porté seule durant cette campagne des législatives devant vous, le combat sur la…
J’ai porté seule durant cette campagne des législatives devant vous, le combat sur la qualité des eaux côtières et lagunaires. Car de la bonne qualité de notre environnement dépend notre économie et la sauvegarde de milliers d’emplois sur notre circonscription.
L’introduction du contrôle des « nouvelles » substances, comme les pesticides, les perturbateurs endocriniens ou les métaux lourds, est indispensable.
Indispensable, je le répète pour le maintien et la pérennisation des activités comme la pêche, la conchyliculture et la viticulture d’une part, mais également du tourisme.
De récentes études montrent l’importance de notre environnement sur la pré-puberté de nos enfants.
Cyril Gombert, référent transition écologique méditerranée de la « République en marche » et vice président du parc national des Calanques (SIC) a déclaré ne pas vouloir fermer l’usine Alteo.
Cette usine tristement célèbre pour le rejet « des boues rouges », résultant du traitement de la bauxite, depuis maintenant 50 ans dans ce même parc au large de Cassis.
Cette position d’un haut responsable du parti présidentiel, ne laisse rien entrevoir de bon pour le futur et le combat à mener sur cette pollution invisible mais et au combien désastreuse de nos mers.
Nous méconnaissons l’importance des océans dans nos vies et dans notre quotidien, pourtant l’air que nous respirons, nos médicaments en proviennent.
Alors Dimanche, posez vous la bonne question qui dépasse les clivages traditionnels politiques.
Pouvons-nous continuer comme ça ?