Droit

VIAS : Mise au point concernant le tract diffamatoire de Gérard Mouralis

Ci-après le texte diffamatoire du tract déposé dans les boites aux lettres des habitants…

Ci-après le texte diffamatoire du tract déposé dans les boites aux lettres des habitants de la commune de VIAS pendant la campagne pour les municipales :

« Vous ont-ils informés qu’un des leurs (donneur de leçons de morale permanent sur internet) souhaitait s’accaparer du domaine public communal et que la justice seule a pu mettre un terme à ce délire ? »

Le 12 mars 2008, dans un courrier publié dans Hérault-Tribune, une correspondante informait les internautes du site qu’afin de prétendre à une lecture dénudée d’iniquité politique je m’expliquerai sur les diffamations du tract de Monsieur MOURALIS après les élections :

°°°°°VOIR LE TRACT°°°°°

Dans un premier temps, je félicite l’ancien candidat et l’ancien maire pour ce tract qui démontre leur fidélité à Hérault-Tribune, même si par un mutisme révélateur, le courage une fois de plus leur a manqué pour s’inscrire en contradiction ou contre-proposition à mes écrits sur ce site Internet (ouvert à tous) depuis tant de mois.
Dans un deuxième temps je ne féliciterai pas l’ancien candidat et l’ancien maire pour leur verbiage et le caractère diffamatoire de ce tract qui rejoint sans équivoque le journal à la mode de la période électorale décrit comme un torchon par les colistiers de Monsieur MOURALIS.

LES IMPOSTURES DE CE TRACT :

1. _En ce qui concerne un certain accaparement du domaine public «* communal*_ »
Je tiens à la disposition des internautes deux lettres signées par l‘ancien maire de VIAS :
– Dans une première lettre concernant cette affaire l’ancien maire écrit que le domaine public est communal.
– Dans une deuxième lettre concernant la même affaire l’ancien maire écrit à un autre administré et l’informe que le domaine public *est départemental* et de rajouter dans un délire suprême que l’ensemble des immeubles est intégré dans le domaine public.
A vous de juger du sérieux de ce tract, et des éventuelles convictions de l’auteur en la matière.

2. En ce qui concerne la phrase : « *_que la justice seule a pu mettre un terme à ce délire _*? »
Outre le fait que les propos de l’ancien candidat et de l’ancien maire sont faux, Monsieur le Juge du Tribunal de Grande Instance de BEZIERS et Monsieur le Juge du Tribunal Administratif de MONTPELLIER apprécieront à leur juste valeur l’utilisation fallacieuse de leurs décisions par une équipe en partie composée d’élus de la commune pendant une campagne électorale.

Dans cette affaire, les magistrats ont renvoyé dos à dos les justiciables devant un juge judiciaire, ce qui signifie que les mots « a pu mettre un terme à ce délire » étaient destinés à tromper les naïfs.

Les décisions judiciaires sont à la disposition de tous, et il est impossible à l’ancien candidat et à l’ancien maire d’apporter une quelconque preuve contraire aux dites décisions. Il y a une chose plus terrible que la calomnie, c’est la vérité (Talleyrand)

3. En ce qui concerne la phrase : « *_donneur de leçons de morale permanent sur internet_ *»
Se rapportant aux deux paragraphes ci-dessus, je vous laisse également vous faire une idée sur ce sanctuaire de l’interprétation du mot morale.
Quant à internet, ce n’est certainement pas dans la Lettre Municipale que quiconque aurait trouvé une ouverture pour s’exprimer…

Pour conclure, ne m’étant jamais engagé sur le terrain des attaques personnelles mais que sur les fonctions administratives, je trouve cynique dans ce débat pour les élections municipales qui vient de se terminer cette attaque personnalisée, que j’assimile à une forme d’autodafé et à un méprisant sens commun de la morale même si à VIAS l’hypocrisie s’est élevée au rang d’art majeur.

Je ne me lancerai pas dans un panégyrique enflammé, mais je tiens sur ce site internet très consulté à remercier sincèrement l’ancien candidat et l’ancien maire pour avoir donné autant d’importance à mon humble personne dans ce maelström électoral, tout en considérant que ces diffamations, inspirées peut être par des cancres échappés de la guerre des boutons, sont dues à des égarements, ou un déficit émotionnel électoral que je leur pardonne au nom d’une République ne pouvant être affaibli par la froideur polaire d’une campagne électorale aussi exécrable.

Jacques AMAGAT

Qu'en pensez-vous ?

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Depuis 1973, d’abord sous format magazine, puis via son site, Hérault Tribune informe le public des événements qui se produisent dans le grand Agathois, le Biterrois et le bassin de Thau.

Depuis 1895, l’Hérault Juridique & Economique traite l’économie, le droit et la culture dans son hebdomadaire papier, puis via son site Internet. Il contribue au développement sécurisé de l’économie locale en publiant les annonces légales.